nous ne demandons pas d'histoire totalement redigée sur RUNETERRA, en revanche merci de developper de la façon dont vous le souhaitez sur les sujets suivants. Pensez à enlever les italiques et les balises small. De plus si vous voulez changer les couleurs de votre fiche, n'hésitez pas à changer les couleurs dans cette ligne de code
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descriptionsObservations de l'esclave n°7 ▬
Le meilleur élément de la récolte.
Grande, forte, jolie. Où serait-elle le plus utile ? Sur un champ de bataille, ou dans un bordel ?
Elle a de beaux yeux verts, voulons-nous vraiment qu’elle en perde un au combat ?
Nous l’avons marqué au fer rouge. Son numéro d’esclave se situe sur le bras gauche.
C’est une emmerdeuse de première. Elle soudoie mes hommes pour savoir où se trouve son frère. Elle sait mentir.
On est certain qu’une fois qu’on l’aura dressé correctement, elle se sacrifiera si on le lui demande.
La dernière fois elle a agressé Tino, elle est bien trop impulsive. Il est préférable de l’attacher constamment.
Son frère semble important pour elle, elle veut le protéger de nous. Dommage pour elle, on l’a envoyé ailleurs. On n’aime pas qu’une famille se retrouve ensemble.
On la frappe souvent. Sa résistance est intéressante, bien que cela m’agace.
Plus je l’observe, et plus je me dis qu’elle ferait une bonne combattante. Ça colle avec son caractère qui me déplait.
Elle ne sait pas gérer sa colère, alors on la frappe encore jusqu’à qu’elle se calme ou s’évanouisse.
Elle a aidé l’esclave n°68, elle a donc pris à sa place. Ceux qui se prennent pour des héros sont ceux que je déteste le plus.
Elle est bornée, ses actions sont d’une stupidité sans nom. Elle a tendance à oublier qu’elle n’est qu’un vulgaire outil, pourtant elle s’accroche à ses principes.
L’un de mes hommes lui a donné de la nourriture en cachette. Elle a été reconnaissante envers lui. Cet homme a été puni, et j’ai vu de la peine dans les yeux du n°7.
Si elle pense qu’on n’a pas vu son petit jeu de séduction avec la n°68, elle est bien stupide. Les relations entre animaux n’est pas autorisé ici.
Je sais qu’elle est méfiante, mais quel esclave ne le serait pas, après tout ?
C’est sa mère qui nous l’a vendu. On sait qu’elle veut le lui faire payer un jour. Comme elle veut nous faire payer de la façon dont on la traite. Chose qu’elle n’arrivera jamais à faire, car personne ne peut se libérer de notre emprise.
On a fait notre choix. Elle va combattre pour nous. L'arme qui lui correspond le mieux est la lance.
naissance d'une légendeJournal du requin sanglant, page 3 :Bilgewater.
L’enfance.
La pauvreté.
L’époque d’une famille unie.
Une fratrie de deux.
Une fille, un garçon
La fille est celle qui écrit ces mots.
Le garçon n’est plus.Tu posas ton stylo, nostalgique. Ton enfance n’avait pas été parfaite, mais c’était une époque que tu regrettais. Tu regrettais ces moments passés avec ton frère. Dans la misère, vous arriviez toujours à trouver quelque chose qui vous amusait, ou qui vous faisait sourire. Tes parents étaient souvent absents, ils travaillaient beaucoup. Beaucoup pour pas grand-chose. Vous étiez pauvres, oui. Mais pour toi, ce n’était pas si grave. Parce qu’une famille, tant qu’elle était unie, elle pouvait tout surmonter n’est-ce pas ?
Journal du requin sanglant, page 12 : Une trahison.
Menant à la séparation.Tu t’arrêtas d’écrire. C’était difficile de mettre ce passage sur papier. Mais tu en avais besoin. Tu avais besoin de faire ressortir ces moments douloureux de ta vie.
Quelle mère, ferait une telle chose ?
Quelle mère, trahirait ses propres enfants ?
Quelle mère serait aussi cruelle,
Pour vendre ses enfants à des marchands,
D’esclaves ?Le stylo se brisa. Même après des années, tu ne pouvais pas oublier. Tu ne pouvais pas oublier cette journée qui avait changé le cours de ton histoire.
Comment pourrais-tu faire confiance à nouveau, après ce que ta mère t’avais fait ?
Journal du requin sanglant, page 16 :
Son frère fut emmené ailleurs.
Elle se retrouva avec d’autres personnes.
Ils étaient une dizaine.
Ils se faisaient tous marquer au fer.
Ils avaient tous un numéro en guise de prénom.
Le sien était le n°7.Tu n’avais que quinze ans, lorsque tu te retrouvas esclave. Tu étais passée par tellement d’endroits que c’était difficile pour toi de te souvenir de la chronologie des évènements. Mais tu te souvenais mieux du commencement. Tes souvenirs étaient flous, mais le principal était là.
Si tu devais faire un court résumé de ce qui t’as le plus traumatisé, ce serait ceci : Le marquage au fer, la crasse autour de toi, les coups qu’on te donnait pour un rien, la faim, les cris de tes amies qui se faisaient violer non loin de toi… Malgré tout, tu ne t’étais jamais laissé faire. Tu n’avais jamais été ce chien obéissant qu’ils avaient souhaités que tu deviennes. Si tu étais encore en vie aujourd’hui, c’est parce que tu as su te servir de tête et de ton instinct de survie.
Journal d’un requin sanglant, page 24 : Esclave de guerre.
Des morts.
N°68.
Collier Hextech.Plus tu écrivais dans ton journal, moins tu donnais de précisions. Pourquoi écrire des phrases, lorsque de simples mots te rappelais ces moments ?
Tu te souvenais de ton collier d’esclave. Ce n’était pas qu’un simple collier, qui te rappelais ta condition, non. Il était fait en hechtech. Une technologie que tu n’appréciais pas forcément, à cause de la manière dont elle avait été utilisée sur toi. Ce collier était équipé d’un système qui pouvait te réduire en cendre, si par malheur, tu essayais de t’échapper ou de te rebeller. Tu l’avais vu à l’œuvre, sur des personnes que tu appréciais.
S’ils avaient longuement hésité à là où tu servirais le plus, il se trouve qu’ils avaient choisi l’option la plus adaptée à toi. Ils t’avaient envoyé au front. En tant qu’esclave de guerre. Tu participais à des combats que tu ne comprenais pas, mais tu te battais, pour eux. Parce que tu voulais vivre. Alors tu tuas des personnes, et si beaucoup te blessèrent, tu réussissais toujours à survivre. Personne ne t’avait formé. Pourquoi formeraient-ils une personne aussi insignifiante que toi ? Ta survie, tu la devais à un talent pour le combat dont tu ne connaissais même pas l’existence jusqu’à être sur les champs de bataille.
Tuer avait été difficile au début. Mais tu t’étais habituée. Tu t’étais améliorée au fil des combats, et s’ils étaient surpris de te revoir revenir à chaque fois, ils voyaient en toi une bonne arme. Si beaucoup de tes amis furent forcés de se sacrifier, ils t’avaient épargné ce destin. Cela t’arrangeait. Parce que tu devais rester en vie le plus longtemps possible. Tu te devais de retrouver ton frère un jour. Même si cela arrivait dans des dizaines d’années, tu finirais par le retrouver.
La n°68. Un numéro que tu n’oublierais pas. C’était une esclave comme toi. Son nom, tu ne le connaissais pas et tu ne le connaitrais jamais. C’était quelqu’un qui avait été important pendant les années où tu étais esclave. C’était une femme qui réussissait à te faire rire alors que rien ne te donnait envie de rire. Tu l’avais souvent aidé, même si tu avais gagné des coups en échange. Des détails qui n’étaient pas importants à tes yeux. Toutes les deux, vous aviez fait partie de la même récolte. Et si des sentiments s’étaient créés au fil des semaines, ils le remarquèrent. Un jour, elle ne se réveilla pas à tes côtés. Elle avait juste disparue. Peut-être était-elle morte, mais ça, ils ne te le diront jamais.
Journal du requin sanglant, page 50 :La libération.Tu n’avais pas besoin d’en dire plus. Ce simple et unique mot suffisait. Si tu t’étais fait à l’idée que tu vivrais ainsi jusqu’à que la mort vienne te trouver, tu te trompas lourdement.
Tu te trouvas dans un bateau cette nuit-là. C’était un convoi pour ta prochaine bataille. Tu ne dormais pas. Comment le pouvais-tu, sachant que tu devais ramer jusqu’à que tu sois arrivée à destination ? Les secousses te perturbèrent, mais tu ne t’arrêtas pas pour autant. Tu t’arrêtas seulement lorsque
cette femme te demanda de le faire. Son visage t’était inconnu, tu ne l’avais jamais vu avant. Pourtant elle te rassura, et rassurèrent les autres esclaves qui t’avait accompagné. Lorsque tu montas sur le pont, tous tes maitres étaient morts. Tu ne réalisas pas de suite, mais lorsque ton collier se desserra autour de ton cou et vint se briser contre le sol, tu compris que ce n’était pas un rêve. Tu étais libre. Un jour que tu ne pensais jamais voir arriver.
Journal du requin sanglant, page 56 :Un nouveau but.
Une nouvelle famille.
Une nouvelle voie.
Une dette.Tu ne connaissais pas la vie en liberté. Comme tu ne connaissais pas le fonctionnement du monde dehors. Cette liberté, tu ne la devais qu’à cette femme. Tu te sentais redevable, et si l’envie de retrouver ton frère était toujours présente, tu savais que seule, tu n’irais pas bien loin. Alors tu lui demandas à ta sauveuse de te prendre dans son équipage. Tu n’avais aucune compétence pour faire la moindre chose dans un bateau, mais au moins, tu savais te battre. Tu n’avais pas peur de tuer, et ça, c’était une compétence qui pourrait lui être utile. Alors elle t’accepta. Tu juras de lui être loyale, et de ne jamais la trahir elle et son équipage. Ta dette, tu ne la rembourserais certainement jamais, mais tu ferais tout pour.
Elle vit ce que tu valais, et même si tu te devais de vivre avec tes traumatismes, tu essayas d’apprécier la vie à nouveau. Tu t’étais adaptée, à ces nouvelles têtes qui côtoyaient ton quotidien. Tu restais toi-même, et pourtant ils t’acceptèrent malgré tout. Si tu ne pensais pas pouvoir ressentir des émotions positives à nouveau, ils russisèrent à te faire changer d’avis.
la patrie est la où se trouve le coeurTu as passée quinze ans à Bigewater, c’est là où tu es née. Tu ne sais pas si tu aimes cette ville ou non. Tu es un peu indifférente. Le seul endroit qui te plait vraiment, c’est le bateau pirate sur lequel tu navigues avec ton équipage. C’est sur ce navire où tu te sens le mieux. En ce qui concerne les autres endroits, tu verras bien quand tu y seras.
la magieTu n’as aucun pouvoir magique. Ceux qui en possèdent t’ont donné du fil à retordre sur les champs de bataille. Mais tu ne méprises pas les détenteurs de pouvoirs pour autant. Tu as juste du mal avec la technologie hextech à cause du collier que tu portais lorsque tu étais esclave.
la brume noireLa brume noire t’inquiète. La combattre ne te fais pas peur, mais ce brouillard sombre se fait de plus en plus présent. Tu as peur qu’elle te tue toi, ta capitaine, ainsi que ton frère où qu’il soit. Tu l’as déjà vu à l’œuvre, et si elle parvenait à te toucher, ton âme pourrait se faire avoir. Tu feras tout pour éviter cela.
relationsTon frère : Cela fait dix ans que tu ne l’as pas vu. Il a été embarqué sur un autre bateau d’esclaves. Tu préfères penser qu’il est encore en vie, et que le retrouveras un jour. Le revoir est ton rêve le plus cher.
La n°68 : Tu ne sais pas si elle est morte ou non. Mais si elle ne l’est pas, tu espères la revoir un jour. Elle t’a aidé à tenir dans les moments les plus sombres. Elle te manque terriblement.
Ta capitaine : C’est ta sauveuse. Elle t’a pris dans son équipage, et tu te sens redevable à son égard. Tu serais prête à te sacrifier pour la sauver. Elle a une grande place dans ton cœur et dans ton estime. Tu la respectes, et elle a toute ta dévotion. Jamais tu ne la trahiras.
L’équipage : Ils t’ont accepté malgré ton caractère et tes trauma. Même si tu ne t’entends pas forcément avec tout le monde, il y’en a certains que tu apprécies malgré tout. Tu passes ton quotidien accompagné de leurs présences. Tu combats pour eux. Ils sont devenus la famille que tu n’as plus depuis longtemps.
Tu combats à la double lance. Ton arme possède une lame des deux côtés. Elle est grande et lourde, mais tu as acquéris assez de force pour la porter sans difficulté. Elle est rouge, et possède quelques motifs que tu as toi-même tissé. C’est ta capitaine qui t’a trouvé cette arme, et depuis tu ne la quittes plus. Elle est parfaitement adaptée à toi et ton style de combat. Tu combats beaucoup plus au corps à corps, mais ce n’est pas ça qui t’empêche d’empaler des personnes en lançant ta lance à distance. Peut-être un jour accepteras tu de l’améliorer à l’aide de l’hexchtech, mais ce jour n’es pas encore venu.
Tu sais te battre à mains nus, mais tu es beaucoup moins efficace sans ton arme. Tu espères pouvoir obtenir un entrainement digne de ce nom améliorer tes techniques de combat sans équipements.