| Dimitri Niquis FREJLORD Messages : 43
Poros d'or : 804
Date d'inscription : 07/02/2022
| NOM PRENOM surnom: Dim, Le moustachu, L'exilé • nation :Née à Freljord mais a vécu longtemps à Demacia. Il a été exilé de Demacia et est retourner “vivre” à Freljord. • métier : Antiquaire - Collectionneur d’objets magiques et anciens - explorateur du dimanche • age : il n'aime pas dire son âge, mais il a environ la trentaine.(32 ans pour être exacte) • allégeance : Lui-même, l’argent et les gens qu’il digne de confiance. Il ne fait pas confiance à Demacia, pas confiance à Freljord, il est un peu perdu dans la notion d'allégeance, et lorsqu’il faut faire des choix, c’est son égoïsme qui prime et son instinct de survie. Cependant, il n’est pas du genre à faire du mal aux autres même pour ses propres désirs. • race : Humain Né-Magique • feat : Dorian Pavus Exilé | Bavard | Curieux | Charlatan | Beau parleur | Commercant Bon vendeur | Maladroit | Passionné | Menteur | Enjoleur | Charismatique | Méfiant | Marginal | Immature QUI ES TU ?
descriptions Lorsque vous le croisez dans la rue, vous avez tendance à vous retourner. Il en impose avec son style bariolé, sa voix, ou bien son visage si particulier. Il a du mal à se faire oublier, et nombreux sont les gens qui aimeraient voir sa tête au bout d’une pique. Pour plein de raisons. C’est un voleur, un brigand, un vaurien. Il vend ce qu’il vole et trouve au plus offrant. Cependant c’est une personne respectable, dans les apparences. Présents aux fêtes mêmes lorsqu’il n’est pas invité. Il aidera les inconnus dans le besoin sans pour autant oublier ce qu’il est. Il a pourtant essayé d’être quelqu’un de respectable, mais la vie n’as pas fait de lui un noble de Demacia, mais un exilé qui ne pense qu’à une chose maintenant, profiter de ce qu’il ne pouvait faire dans le pays de la non magie.
naissance d'une légende Ce ne sont que des pleurs dans un village en cendre, ce ne sont que des pleurs dans le froid des montagnes lorsque intrigué un militaire de Demacia le trouve la. Seul, dans un linge, il est transi de froid. Tous les hommes de Demacia n’ont pas un cœur de pétricite, et peut être que s’il avait su que le bébé était un mage, il l’aurait laissé mourir de froid à la frontière de Freljord et de Demacia, dans ses montagnes gelées.
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Dimitri lache ca.
Le livre tomba au sol, lourdement, soulevant la poussière de ce grenier qui lui était interdit de visiter, il le sais pourtant, mais du haut de ces 6 ans, la tentation était trop forte. Pourquoi ces livres parlant de créatures fantastiques et de magie étaient rangés ici dans cet endroit poussiéreux ? Il ne le savait pas vraiment.
Tu n’as pas le droit de venir ici. Tu le sais.
Sa main broyée par la poigne de son tuteur, le jeune Freljordien redescendit le visage honteux, et l’esprit fantasque.
Pourquoi tout cela est-il interdit ? Parce que la magie c’est mal. C’est un danger.
C’est un laïus qu’il entendra souvent. Accueilli, nourri, hébergé et employé par le frère du militaire qui l’avait trouvé bébé, il vivait loin des montagnes de sa nation natale, proche de l’océan et de ces ports qui le verront grandir. C’est un marchand son tuteur, un homme bon, du moins c’est ce qu’il croit pendant des années. Après tout, cet homme est riche, lui apporte une éducation, de la nourriture… de quoi peut rêver de mieux un orphelin ?
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L’adolescence est une période difficile pour tout le monde, et comme beaucoup de né magique, elle s'est montrée. Elle, sa magie, ce qui coule dans ses veines, cette chose étrange et troublante. C’est banni, c’est mal, et le petit garçon a si longtemps entendu cette phrase que cela l’effraie.
Elle se manifesta par une crise de colère et pourtant, il y avait eu tant d’indices. Combien de bains avaient fini froid sans raison ? Combien de fois la neige avait-elle remplacé la pluie à son passage. Cependant cette fois, il vit sa magie.
C’était une dispute sans réelle violence, il avait cassé une caisse, un accident qui lui avait valu une claque monumentale et un sermon beaucoup trop long. Envoyé dans sa “chambre” il ne compris pas tout de suite pourquoi ses vitres se recouvrirent d’un peu de givre, pour finalement entièrement recouvrir la vitre. Ses mains gelées semblaient si pâles qu' il lâcha un cri. Se jeta sous ses couvertures. Ce n’était pas possible, pour lui c’était une hallucination, un resultat d’une claque qui aurait trop secoué son cerveau. Il frotta ses mains, mêlant à la colère une peur sourde et douloureuse qui ne faisait qu’augmenter le phénomène, la peur amplifiant le froid de la pièce.
Un verre éclata, entièrement gelé, l’eau qui était à l'intérieur avait poussé les parois.
Qu’est ce qu’il se passe ici ?
La porte s’était ouverte si vite, que le jeune homme n’avait eu le temps de bouger, de cacher tout ce qui était apparu dans la pièce. Et sa peur, il la vit au centuple dans le regard de son tuteur. Une peur qui se transforme en dégoût.
Nettoie tout ça. Et ne sors pas de cette pièce tant que je ne te l’aurais pas autorisée.
Des larmes gelaient sur les joues de Dimitri, comment était-ce possible ? Pourquoi lui ? La magie venait d’empirer sa vie. Ce fut la fatigue et le froid qui calmèrent le jeune homme, l’atmosphère se réchauffait alors qu’il s’était endormi transi dans sa couverture, cauchemardant d’une vie qu’il ne voulait pas.
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Son tuteur ne l’avait pas dénoncé, et pourtant l’épée de damoclès était là, au-dessus de sa tête. C’était un accord, on ne parlait pas de ça, la magie n’existait pas. Et si le contrôle de cette dernière fut pendant quelque temps aléatoire, la cacher devenait de plus en plus simple. Dimitri éprouvait un certain dégoût pour sa propre personne, il se lança corps et âme dans le travail de son tuteur. Bon vendeur, il aidait ce dernier, l’accompagnait partout. Il connaissait beaucoup de monde, et tout le monde le connaissait Le Freljordien, l’orphelin, il parlait bien, il vendait bien. Combien de tapis avait-il vendu alors que c’était des carpettes miteuses ? De nombreuses. Combien de marchands étaient réparties les cales pleines de choses invendables car il les avaient convaincus du contraire. Dimitri devint un charlatan, dans tous les sens du terme. Il ment à tout le monde, et surtout à lui-même, il cache ses pouvoirs, et sa réelle personne dans un taffetas douteux et dans l’alcool.
La seule chose d’honnete, est son étrange passion pour les vieilles choses (et non pas les vieilles personnes). Il a toujours eu ce regard sur les reliques, sur les bibelots qu’ils vendaient à ces camelots. Intrigué par leur histoire, ce que ces objets racontent. Sur leur coût, aussi, car ce qui était ancien valait souvent son pesant d’or. Très vite, il fut un atout pour son tuteur, il ne s’occupa bientôt plus que de ça, il venait de trouver sa vocation, et si cette dernière lui donnait des envie d’aventures, comme celles comptés par les marins, il ne décollera pas de son propre chef non de cette petite ville côtière. Il y avait ses attaches, des amis, une maison, et pourtant…
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C’était un jour comme les autres. Il avait été mandaté pour récupérer les cargaisons d’un navire. C’était de nombreux bibelots, déjà promis, déjà vendus, ou pour la collection privée. Ses sens furent en éveil alors qu’il entra dans la cale, cette caisse, précisément cette caisse l’attirait comme un aimant. Il n’aurait su dire, mais lorsque sa main se posa sur la caisse, le couvercle éclata comme du verre. Il avait appris à gérer cela, sa panique ne dura que quelques secondes. Reprenant contrôle rapidement avant que les marins n’arrivent prendre une nouvelle caisse. C’était un bâton magnifique mais artefact magique. Pourquoi était il la ? Il ne le sait toujours pas aujourd’hui, mais cet objet fut le début de sa propre fin à lui.
Pourquoi ? Parce-que c’était magique, parce qu'il a fallu que son tuteur ait peur de cet objet que Dimitri refusa de laisser enfermer dans le grenier de la demeure. Parce que ce matin d’hiver lorsque les gardes arrivèrent à la porte il sut.
Je suis désolé Dim. Je ne pouvais plus le cacher. Cet objet…
Ils ont essayé de lui arracher, ils ont essayé. Et le froid les frappa. Ce fut violent, mais c’était la fin. Il devait quitter la patrie qui l’avait vu grandir, qui l’avait élevé, nourrit, sauver peut-être. Les regards qu’il vit sur lui ce jour-là lui brisèrent le cœur plus d’une fois. Chacun de ses pas lui crevait le cœur et l’esprit. Il vit leurs yeux, leur jugement. Il croisa des gens qui lui firent détourner le regard. Il n’avait pas trop le choix. Partir.
Lorsqu’il arriva à Freljord, il était loin du faste et de la vie qu’il avait à Demacia. Il était terni par la fatigue, par son esprit devenu fragile. Son bâton et ses maigres affaires dans le sac, il manqua de mourir plus d’une fois, tué par une bête sauvage ou par une chute inopinée. Il fut cependant accueilli, il se rendit utile, vite, par instinct de survie. Le froid était le prix d’une liberté nouvelle, mais aussi une épreuve à laquelle il ne s’était pas préparé.
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Il apprit à manipuler son pouvoir, ce dernier se manifestant que trop souvent sans son accord. Il lui fallut du temps, mais il avait tout l’espace nécessaire, et le temps. Il avait oublié ses envies d’aventures et son bagout. Pendant 2 ans tout n’était que magie. Il se rendait utile, faisant le messager, vendant des bricoles, ses services, d’autres choses. Ce fut une rencontre qui le fit pour la première fois quitter Freljord. Ce fut une rencontre, un marchand itinérant, dont l’étal était gorgé d’objets comme il en vendait à Demacia, des bibelots poussiéreux pour beaucoup, un trésor inestimable aux yeux de l’exilé. Ce fut un déclic, il devait continuer à côtoyer ces objets, à les trouver, les vendres aussi. Ce marchand fut un mentor, un guide aussi, un nouveau tuteur mais sans chaînes, sans limite. Il le suivit partout, pendant des semaines, des mois, il en découvrit plus qu’il n’aurait cru. Et si la vie d’itinérance n’était pas tous les jours aisés, c’était le plus souvent compensé par des découvertes étanchant sa soif de trouvailles et sa curiosité.
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Aujourd’hui il est le plus souvent seul, son ancien mentor ayant repris la route seul, n’acceptant pas toujours les idées fantasques de Dimitri. Aujourd’hui le mage parcours Runeterra avec peu d’affaires, mais toujours des choses à vendre et revenant toujours à Freljord revoir ceux qui l’avaient hébergé longtemps et se ressourcer. Aujourd’hui, il vit une vie qu’il a décidé de mener. Une vie dont le froid de Freljord et de sa magie, furent la clé de sa liberté.
la patrie est la où se trouve le coeur C’est une chose compliquée que la patrie pour lui. Né dans le froid de Freljord et élevé à Demacia, sa patrie est finalement nulle part. S’il vit à Freljord, il n’y connaît que très peu les us et coutumes, il est trop Demacian pour les Freljordiens, et trop magique pour les Demacian. C’est pour cela qu’il fuit généralement, toujours par monts et par vaux. Mais bon, si vous lui demandez d’où il vient, il dira toujours Freljord malgré un accent…démacian.
la magie Il respecte la magie, il en a peur et la craint, mais la respecte. Parti trop longtemps réfrénée chez lui, il voue un certain culte à ceux ayant pu la travailler dès leur plus jeune âge. Il est plus frileux vis à vis de la science et de la violence cependant.
la brume noire Il la vue, détruire demacia. Il la vue détruire tout ce qu’il connaissait. De loin, raconté par les fuyards et survivants. Il méprise cette brume noire, aurait préféré vivre une vie sans cette dernière. Cela l’effraie et pourtant il ne se sent pas capable,pas digne d’avoir un quelconque rôle à jouer dans ce qui se trame. Tant que cela ne l'empêche pas d’explorer Runeterra.
relations Il a des contacts un peu partout dans le monde, surtout à Demacia et Freljord. Cependant son travail aidant, il a déjà posé le pied un peu partout. Il a beaucoup d’ennemis aussi, mais au fond, il est attachant. Vous le trouverez facilement cependant, que ce soit sur les routes, dans une tavernes, dans un marché, ou dans des ruines.
POUVOIRS | CAPACITÉS | ARMES Magie élémentaire de glace
Une magie de création et de destruction. Elle coule dans ses veines et il a peiné à cacher cette dernière pendant des années. Dimitri manipule la glace, il est capable avec sa magie, de transformer l’eau quelle que soit sa forme en la forme solide de cet élément si pur. Cela limite l’utilisation de sa magie à des endroits avec un minimum d’humidité, il a déjà essayé, dans le désert au milieu de Shurima, son pouvoir est limite inexistant.
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Un bâton. S’il a toujours dit qu’il l'avait volé et qu’il n’était qu’un bâton de marche, son bâton est en réalité un catalyseur de magie lui permettant d’être plus précis dans sa manipulation de la glace. C’est un des rares souvenirs qu’il a de son “tuteur”. ET TOI INVOCATEUR ? J’avais dit pas de DC, mais… *meurt*
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