| Sivir Messages : 2
Poros d'or : 2
Date d'inscription : 30/11/2022
Age : 22
| Sivir surnom: la vierge martiale, surnom connu par-delà les frontières shumériennes faisant frémir ceux qui devront s’y frotter • nation : elle est une fille du désert, tout droit venue de Shurima • métier : mercenaire et chasseuse de trésors, qu’importe tant qu’on la paie assez • age : 32 ans • allégeance : elle-même. Lorsque l’on fait appel à elle, l’on s’achète ses services et non sa loyauté. En tout cas, c’est ce dont elle était persuadée jusqu’à il y a peu. • race : humaine. • feat Sivir (League of Legends) fière, froide, ambitieuse, opportuniste, bornée, courageuse, indépendante, belliqueuse, insolente QUI ES TU ?
descriptions Sivir est quelqu’un qu’il vaut mieux avoir avec soi que contre soi. Véritable guerrière entraînée depuis des années et des années, elle est hargneuse et n’a pas peur de prendre des coups. En témoignent les nombreuses cicatrices qui parcourent son corps, toutes placées sur le devant de son corps car Sivir affronte toujours la menace de face. Exception faite pour une seule marque dans son dos, souvenir d’une trahison et d’un jour qui changea sa vie à jamais. Son corps est sculpté pour le combat, sa musculature apparaissant là où son armure ne la protège pas.
Son teint est marqué par le soleil tapant de Shurima et sa longue chevelure est colorée de brun, flirtant parfois avec le noir. Ses pupilles perçantes brillent d’un bleu turquoise, toisant constamment ses interlocuteurs avec méfiance, laissant parfois échapper une pointe de malice et d’insolence lorsque l’envie lui prend.
Si par mégarde vous finissez par attirer son courroux ou celui d’un de ses clients, n’espérez plus grand-chose. La mercenaire n’est pas du genre à lâcher prise ou à baisser les bras, ou même à faire preuve de pitié envers ses cibles. Dans le même calibre, elle déteste être redevable envers quelqu'un. Elle tentera toujours de se débarrasser de ses dettes, de n'importe quelle manière qu'il soit.
naissance d'une légende Dès le début de son existence, Sivir comprit qu’elle devait se battre pour survivre. Ne pas se battre, c’est se laisser faire, et se laisser faire, c’est mourir dans le désert. Chacun tente de sauver sa peau comme il le peut, au détriment de choses qui peuvent sembler essentielles pour ceux qui n’ont pas connu l’aridité et la soif, des choses comme la confiance, la loyauté et l’altruisme. Bien tôt, Sivir découvrit que ces valeurs n’avaient aucune réelle importance dans l’espèce de chaos qui régissait Shurima.
Elle se rappelle à peine de ses parents. Leurs visages ne sont qu’une espèce de flou et quelques souvenirs piochés ici et là dans sa mémoire. Toute sa famille fut exterminée par des Kthaons, comme bien d’autres familles ce jour-là. Avec les autres orphelins, ils dûrent trouver d’autres moyens pour survivre. Le vol était d’abord leur principale source de revenus, leur permettant de ne pas mourir de faim. Mais rapidement, ils comprirent que cela ne suffirait pas et se mirent donc à explorer les ruines de Shurima à la recherche de reliques. Sivir excellait à la tâche, se découvrant une agilité surprenante, qu’elle commença aussitôt à travailler. Être dans ces ruines était comme naturel pour elle. Enfant déjà, elle était prête à tout pour dénicher les trésors les plus chers. Elle était sans peur et finit par mener les explorations, commençant également à étudier et à détailler les ruines qu’elle explorait. Néanmoins, tout ce qu’elle ramenait des profondeurs finissait dans la poche de riches marchands. Par appât du gain, du profit, ou de pouvoir, les choses finirent par se retourner contre elle. Sa propre amie Mhyra lui prit tout ce qu’elle avait, la laissant seule et sans personne. Première leçon pour Sivir : ne jamais laisser la confiance et les sentiments obstruer ses jugements.
Mais elle ne se laissa pas abattre. Plus déterminée que jamais à survivre, elle rejoint le groupe de mercenaires de la célèbre Iha Ziharo. De par sa grande agilité et sa connaissances des ruines qu’elle avait étudiées depuis un temps déjà, elle se créa une place d’abord en tant que guide et laquais. Elle avait encore beaucoup de choses à apprendre, et la jeune fille des rues qu’elle était n’attendait qu’une seule chose : apprendre à se battre et à devenir forte. Elle ne lésina pas sur les entraînements, passant des heures à repousser ses limites et à apprendre différentes techniques offensives et défensives. Elle apprit également le mode de vie des mercenaires, parfois à ses dépends. Mais jamais Sivir ne faisait deux fois la même erreur. Elle apprenait vite et son agilité, sa connaissance des ruines couplées à son extraordinaire talent avec les armes lui permirent de monter les échelons et de devenir le sergent personnel d’Iha Ziharo.
Ses stratégies permirent d’amasser nombre de richesses. Étant maintenant aux premières loges, la mercenaire ne mit pas longtemps à comprendre que quelque chose clochait. Sa mentor cachait bien son jeu, gardant une partie des richesses amassées lors des missions, alors même que tous les autres mercenaires trimaient tout autant pour avoir moins. Pire que cela : Sivir était en charge d’une grande partie des explorations de ruines et de tombeaux, elle était l’investigatrice. C’était grâce à elle que la plupart des mercenaires revenaient en vie, grâce à elle qu’ils ne finissaient pas morts pendus par les pieds à cause d’un piège, grâce à elle que les plafonds des temples ne s’effondraient pas. Et pourtant, elle ne vit jamais la couleur de remerciements quelconque, de la part de sa mentor ou même de leurs clients. Si au début, elle mit ça sur le dos des principes des mercenaires, elle comprit rapidement qu’Iha engrengait en fait tous les mérites de ses stratégies et de ses réussites.
Furieuse, Sivir décida d’en toucher un mot aux autres mercenaires du groupe. Après tout, il s’agissait également de leurs richesses et de leurs réussites. Et si Sivir sait manipuler et mentir, lorsqu’elle est honnête et sincère, elle n’en est qu’encore plus convaincante. Rassemblant la force nécessaire avec les autres mercenaires, elle confronta Iha et un combat s’engagea. Mais Sivir était mieux préparée, plus agile que sa mentor. Elle avait calculé tous ses coups et finit par prendre l’ascendant, après une longue et haletante bataille. Elle avait gagné. Elle ne put néanmoins pas se résoudre à la tuer. Elle lui devait tout, et Sivir n’avait jamais aimé avoir de dettes. Avait-elle peur de regretter son acte ? A-t-elle hésité par peur de s’en vouloir ? Elle-même ne saurait l’expliquer mais elle ne la tua pas. Elle préféra laisser la célèbre Iha Ziharo entre les mains du sable. Seuls les forts peuvent survivre dans le chaos du désert Shurima. Si le désert la laissait survivre, alors c’est qu’elle était encore assez forte que pour vivre un peu.
Prenant la tête du groupe, Sivir mit de côté toute morale et accepta toute sorte de mission, tant que monnaie sonnante et trébuchante suivait. Au fil des années, sa réputation et celle de ses mercenaires ne fit qu’augmenter, leur permettant d’augmenter encore et encore leurs prix. La mercenaire ne reculait devant rien ni personne. Un jour, un homme de Nashramae fit appel à eux pour retrouver une très ancienne relique. Et si la mercenaire n’apprécie pas tellement les gens de son acabit, la mission était très grassement payée alors elle accepta. Ils étaient partis à la recherche du Chalicar, une arme perdue depuis bien longtemps dans des ruines situées dans les profondeurs du désert. Accompagnée par les gardes personnels de son client, elle chercha des mois durant, avant d’enfin trouver les dites ruines. C’était une tombe comme elle n’en avait jamais vu auparavant. Elle était prise d’un étrange sentiment dans ces lieux et en se tournant vers les hommes qui l’accompagnaient, elle comprit qu’elle était la seule à le ressentir et elle se tut. Lorsque soudain, ouvrant un des sarcophages présents, elle découvrit l’arme. Elle fut stupéfaite et lorsqu’elle la prit en main, ce sentiment n’a fait que grandir. C’était comme si l’arme lui était destinée, taillée pour elle. Le Chalicar, plus qu’une arme, était un trésor dont l’armature lui semblait presque familière. Elle lui revenait de droit. Alors lorsque l’un des hommes du patriarche de Nashramae exigea qu’on lui remette l’arme, Sivir agit sans parler ni réfléchir, tuant tous les gardes se trouvant sur son sillage avec sa nouvelle arme.
Armée du Chalicar, Sivir semblait inarrêtable et sa réputation dépassa rapidement les frontières du désert. Lorsque Noxus vint poser le pied sur le continent, elle fut approchée par la famille Du Couteau, plus précisément par Cassiopeia. Elle était à la recherche d’un guide pour la mener dans l’ancienne capitale de Shurima, aujourd’hui à l’état de ruines et Sivir semblait être la mieux placée pour cette mission. Elle rassembla ses hommes et se lança dans un long périple avant d’enfin apercevoir les tours dépassant des dunes. Ils s’engouffrèrent dans les catacombes, découvrant des trésors enfouis dont la beauté éblouissait Sivir. Elle restait néanmoins méfiante. Beaucoup de légendes et de rumeurs circulaient autour des ruines de l’ancienne capitale, et peu de gens ont osé s’y frotter. Plus ils s’enfonçaient dans les catacombes, plus les pièges semblaient morbides et horribles. Plusieurs de ces hommes disparurent dedans, éviscérés, décapités dans d’atroces souffrances, mais Cassiopeia refusa de faire demi-tour. L’enjeu était trop important d’après elle, et Sivir était payée pour ça après tout. Malgré l’horreur qui lui glaçait le sang, elle ressassa ce sentiment et continua à avancer.
Elles arrivèrent alors devant une immense porte, gardée par de grandes statues, les murs décorés de bas-reliefs représentant les légendes d’antan. Bouche-bée par le spectacle qui se produisait devant elle, elle se rapprocha avec sa torche pour apercevoir de plus près les représentations des Transfigurés, comme mue par une étrange fascination. C’est à ce moment-là que son sang se glaça réellement, accompagné d’une douleur affreuse. Cassiopeia venait de la poignarder dans le dos. Sivir s’effondra dans un râle, son sang coulant à vive allure. Elle vit la Noxienne saisir le Chalicar pour le poser dans la porte, ouvrant ainsi la tombe. Un des gardiens de la porte, un serpent de pierre, prit tout à coup vie et attaqua la noble, alors que la mercenaire se laissait doucement aller à la mort. Elle entendit les hurlements de douleur de Cassiopeia, accompagnés par des cris semblant sortir des profondeurs. Ses forces l’abandonnèrent alors et elle sombra dans l’inconscience.
Elle ouvrit les yeux, sereine et apaisée. Plus aucune douleur dans son corps. Et elle n’était pas seule, un homme était également présent. Il lui fallut le temps d’émerger complètement de son espèce de sommeil pour se rendre compte de ce qu’il se passait autour d’elle, de qui était son sauveur et surtout, pour voir de ses propres yeux ce qu’elle venait d’engendrer. L’ancien empereur Azir était là, devant ses yeux. Les dizaines de contes, légendes, rumeurs et prophéties qu’elle avait pu entendre à son sujet durant sa carrière de mercenaire lui revenaient en mémoire, alors que la terre tremblait, que la poussière volait et que l’ancienne capitale de Shurima reprenait vie. Le disque solaire reprit sa place, ce même disque qu’elle n’avait pu apercevoir que sur les bas reliefs des ruines qu’elle pillait. Cela semblait irréel. Complètement abasourdie par la scène qui prenait place sous ses yeux et secouée par toute la situation, elle s’empara du Chalicar et s’enfuit sans demander son reste.
Elle descend de la lignée impériale et son sang avait réveillé des forces qui dépassent l’entendement. Elle s’était rapidement rendu compte que, d’une façon ou d’une autre, sa vie ne serait plus jamais pareille. Elle était coincée au milieu de batailles dont elle aurait préféré se passer, mêlant des personnages revenus tout droit des légendes d’antan qu’on lui avait conté, et qu’elle avait continué d’entendre lors de son parcours. Aujourd’hui, ils sont revenus et elle est confrontée à un choix, un choix qu’elle refuse de prendre.
Même face à la fatalité, lorsque Xerath attaqua la ville de Vekaura dans laquelle elle s’était réfugiée agonisante, lorsqu’elle apprit qu’il en avait après elle et qu’il ne lâcherait rien tant qu’elle ne serait pas tombée, Sivir restait debout. Elle tente de rester maîtresse de son destin. Personne ne lui a jamais imposé de voie. Ce n’est pas aujourd’hui que cela commencera.
la patrie est là où se trouve le coeur Sivir est une fière fille du désert. Elle connaît ses codes, ses dangers. Elle se soucie peu des lois qui pourraient être imposées : dans le désert, c’est la loi du plus fort qui prime. La seule chose qui lui dicte son code est l’argent, et elle sait que c’est également le cas pour bien des gens de l’empire. C’est en partie pour cela qu’elle ne croit que peu à la réunification des tribus du désert. Elle sait pertinemment comment cela fonctionne depuis des centaines d’années, et ce n’est pas maintenant que cela va changer. Au mieux, cela amènera une nouvelle guerre, alors à quoi bon ?
la magie Sivir ne maîtrise pas la magie. Elle a néanmoins toujours eu une profonde admiration pour ceux qui parvenaient à la maîtriser. Elle a eu la chance de voir ce que la magie pouvait produire, en pire ou en bien. Alors pour cette raison, la magie la fascine tout autant qu’elle s’en méfie. Elle a vu le pouvoir destructeur et dévastateur qu’une mauvaise magie pouvait engendrer. Et dans le même temps, elle a assisté à la renaissance d’une cité légendaire jadis recouverte par les dunes.
la brume noire Sivir a la connaissance des rumeurs qui circulent ici et là, mais clairement, cela ne lui fait ni chaud ni froid. Rien n’a encore attaqué Shurima, donc ce ne sont pas ses affaires. Tant que les rumeurs, la brume ou quoique ce soit que cela pourrait être ne nuit pas à ses missions, elle n’a aucune raison de s’en inquiéter. Par contre, si cela commence à s’incruster un peu trop dans ses affaires… Il y a de fortes chances pour qu’elle commence à s’y intéresser de près.
relations Azir : En plus d’être l’ancien Empereur de Shurima nouvellement ressuscité, il est également son ancêtre. Néanmoins, elle ne veut rien à voir avec lui. Elle a pourtant pleinement conscience qu’elle sera obligée de faire un choix vis-à-vis de lui à un moment, mais tant qu’elle le peut, elle nie complètement le dilemme. De plus, même s’il lui a sauvé la vie, elle ne lui doit rien.
Xerath : Xerath est un mage qui fut ramené lorsque son sang fut versé par Cassiopeia. Il s’est mis en tête d’éteindre définitivement la lignée d’Azir, c’est-à-dire l’empereur et elle-même. Il a bien failli la trouver lors de son attaque à Vekaura, et Sivir ne sait pas encore combien de temps elle devra continuer à se cacher du mage.
Nasus : Nasus est l’érudit des légendes qu’on lui a tant contées. Il l’a aidée lorsque Xerath a attaqué Vekaura, lui passant un pendentif la cachant du mage pour un certain temps. “Jusqu’à ce qu’il la retrouve”.
Cassiopeia : Cassiopeia est la Noxienne qui a tout enclenché. En poignardant Sivir, elle a ouvert une porte qui plus jamais ne se refermera. Sivir a de la rancoeur envers elle, et si elle finit par la recroiser, nul doute qu’elle en profitera pour lui rendre la monnaie de sa pièce.
Taliyah : Taliyah est la jeune fille qui sauva Sivir juste avant l’attaque de Vekaura, et qui l’aida durant cette attaque. Elle fut témoin de sa magie et fut très impressionnée par la tisseuse de pierres.
POUVOIRS | CAPACITÉS | ARMES Elle ne doit ses capacités qu’à son entraînement acharné qu’elle perdure depuis plus d’une dizaine d’années déjà. La mercenaire est taillée pour le combat et ne saurait compter le nombre de missions qu’elle a accomplies. Elle se bat avec le Chalicar, une arme légendaire qu’elle a trouvé dans un tombeau et dont elle ne se sépare plus. Sivir a appris récemment qu’il s’agissait de l’arme de Setaka, reine guerrière des Transfigurés. Ce qu’elle ignore par contre, c’est qu’un darkin est enfermé à l’intérieur.
Sivir utilise le Chalicar comme une lame et comme un boomerang. Aucun humain ne devrait normalement le manier, surtout avec autant d’aisance. Le sang impérial qui coule dans ses veines est une des raisons pour lesquelles la mercenaire arrive à s’en servir aussi bien. Lorsqu’elle combat avec, tout semble naturel et fluide, comme si l’arme était une simple extension de son bras. ET TOI INVOCATEUR ? hello !! ici neverliv, du couuup une petite présentation s'impose. J'ai 20 ans (et toutes mes dents), étudiante en journalisme, je m'intéresse à l'univers de LoL depuis plusieurs années déjà et suite à mon récent visionnage d'Arcane, je me suis dit why not tenter un fo RP sur Runeterra?? et pouf je suis tombée ici. |