| Valh BILGEWATER Messages : 163
Poros d'or : 4789
Date d'inscription : 19/11/2021
Age : 30
Localisation : Bilgewater
| Valh surnom : L’âme entre deux eaux nation : Bilgewater métier : Chasseuse de primes age : 27ans allégeance : Bilgewater race : Humaine - Sublimée. - Caractère:
Visible : -Froide - Distante - Impassible - Hautaine - Assurée.
Sous la surface : -Calme - Silencieuse - Patiente - Réfléchit - Méticuleuse - Attentive - Adaptative - Vive d'esprit - Combative - Joueuse - Protectrice - Déterminée - Mature - Fidèle
En profondeur : -Instable - Vengeresse - Hargneuse - Désespérée - Lasse - Possessive.
Les Abysses : Impulsive - Sadique - Masochiste - Démente - Passionnée.
QUI ES TU ? descriptions La pièce éclairée d'une simple lanterne lui était suffisante afin de parcourir une nouvelle fois les lignes de ce foutu journal. Cela faisait combien de fois déjà, qu'elle scrutait chacune de ses lignes dans l’espoir vint, de trouver cet indice qui lui aurait échappé aux précédentes lectures ? Au fond d'elle-même, la jeune femme le savait, rien sur ses pages ne pourraient lui offrir ce qu'elle désirait depuis de nombreuses années maintenant. Pourtant, elle poursuivait inlassablement son investigation. Relisant par la suite les carnets et autres calepins dans lesquels elle avait pris soin de noter et croquer, des pistes potentielles ainsi que celles parcourues, dont les débouchés n'avaient abouti à rien. Du moins, jamais rien qui n'aurait pu la conduire à sa principale cible.
Sa proie si longtemps chassée n’était autre que la nouvelle ''dirigeante'' de Bilgewater, Capitaine Fortune. Dès lors que cette folle aux cheveux de braises prit le pouvoir, elle avait fait le choix de décimer la totalité des hommes de Gangplank, tuant tous ceux qui lui étaient fidèles, dont le père de Valh, Leirth, tout en plongeant la ville portuaire dans un chaos sans nom qui persistait encore. Là où le Fléau des Mers tenait la cité par sa simple cruauté, il empêchait cette dernière de sombrer dans la démence par sa seule influence. Maintenant la place de chef occupée par l’ancienne chasseuse de primes dont la légitimée était toujours remise en question par une majorité de la population, les guérillas restaient monnaies courantes, en plus des meurtres isolés qui n’avait cessé d’augmenter.
Par ailleurs, en parlant de Fortune, le visage de la rouquine fut visible sur la page que Valh venait de tourner, au moment même où ses yeux turquoise se posèrent sur ce dernier, elle planta la représentation à l’encre, de sa lame. Son emprise ferme sur le manche de son sabre dirigé par sa colère, la faisait trembler, démontrant une haine certaine pour cette capitaine. Les secondes s'écoulèrent, calmement, la jeune femme repris son souffle tandis que son visage arborait de nouveau une expression neutre, si ce n'était glacial. Ce dernier, aussi pale que l'hiver, démontrait la présence d'une fatigue certaine par des cernes ornant son regard. Ses cheveux, longs et attachés en arrière en une queue-de-cheval basse, par un long ruban noir, était d'un blanc presque cendré, dont deux mèches argentées tombaient à l'avant, cachant d’une part ses oreilles. Elles soulignèrent également les traits fins qui dessinaient son nez, ses joues, mais aussi ses lèvres dont la couleur tirait sur un léger pourpre.
Un long et fin soupir s'échappa de ses lèvres. Bien que son désir d'entendre la folle rendre son dernier souffle la forçait à poursuivre sa traque, il y avait des jours où la lassitude la gagnait, la plongeant parfois dans une sorte de dépression qui la poussait à l'autodestruction. Et pour combattre de tels ressentis, il n'y avait rien de mieux que de partir en chasse de proie plus... accessibles. Ainsi, elle reprenait goût non pas à la vie, mais à la survie. Jouant de la souffrance des autres et de la sienne. Savourant les cris de douleur et la vision du sang s'écoulant. Parcourant à corps perdu les ruelles labyrinthiques et dangereuses que sont les bas-fonds de Bilgewater, jusqu'à croiser plus fort qu'elle. Ce qui n'était pas si bien compliqué. Ah... c'était une sorte de fascination, voire de passion quelque peu malsaine. Après tout, ce n'était qu'ainsi qu'elle oubliait tous ses tourments, l'espace d'un instant, avant de se rendre compte qu'elle allait trop loin.
Pourtant, sous la démence, il lui arrivait de le revoir, celui qui avait partagé sa vie, celui qui fut encore présent une fois son père mort : Weynn. L'homme qui avait envahi son cœur succomba un an après son paternel, lors de l'arrivé de la brume noire. De son crochet, un spectre possédant une lanterne verte, avait arraché la vie de son partenaire, laissant pour signature un rire d'outre-tombe. Souvent, elle entendait les hurlements de son amant accompagné du plaisir qu'avait pris son faucheur lors de la moisson. Son regard, sa voix, sa présence... celui qu'elle aimait lui manquait cruellement. Depuis, leurs visages hantaient ses nuits et parfois, ils arrivèrent à l'extirper de cette folie qui la consumait peu à peu. Lui rappelant qu'elle voulait avant tout protéger les quelques innocents qui en étaient incapables. C'était bien pour ça qu'elle avait quitté son ancien boulot, pour devenir chasseuse de primes, n'est-ce pas... ? C'était bien pour protéger les autres ? Pas uniquement dans le but de tuer Fortune ? Et non pas pour ce spectre ?
Cela faisait quelques années déjà, et pourtant, les cicatrices restèrent ouvertes et tout aussi profondes. Oui, ses souvenirs la poussèrent à ne pas abandonner. Les pourritures traînaient toujours en nombre dans les bas-fonds et bien plus en hauteur également. Elle devait s'y remettre. Abandonnant l'idée de traquer Fortune en ce jour, elle refit les bandages qui cachaient sa poitrine, puis vérifia les plaies et cicatrices qui ornaient son corps, soulignant ses courbes à la fois minces et finement musclées par ses traques incessantes. Des tatouages d’un bleu gris ornaient sa taille, passant par ses hanches pour enfin descendre sur ses cuisses, en plus d’agrémenter la pâleur de sa peau, ils lui rappelaient ses origines Freljordiennes. Valh recouvrit son torse d'une chemise dont le blanc avait quelque peu jauni, puis enfila ses bottes par-dessus son pantalon, une longue veste possédant un col haut en plus d'offrir une épaisseur supplémentaire au niveau de ses épaules et des gants arrivant à ses coudes, le tout était fait d'un cuir d'époque en plus d’épaissir sa silhouette.
Avant de s'en aller, la jeune femme prit son tricorne noir, surplombé d'une longue plume blanche qui n'était pas encore maculé de sang. Dans le même temps, elle récupéra son sabre, arme qui fut le dernier cadeau de son amant et auquel elle tenait plus que tout, dont la lame était faite d'un acier directement plongé dans le givre de Freljord. Tout du moins, c'était la légende que lui avait narré le vendeur, un doux mensonge à supposer.
- - - naissance d'une légendeD'aussi loin qu'elle pouvait se souvenir, l'odeur putride des quais de la ville portuaire enivrait déjà son esprit. À l'époque, le Fléau des mers était encore au sommet, permettant à ses hommes et à ceux qui le respectaient, une vie bien remplie, ou tout du moins, de quoi avoir la tête hors de l'eau. Son père avait eu la chance de pouvoir travailler sous le nom du Roi de Bilgewater en tant que brasseur. Ainsi, il assurait un semblant de vie à sa fille et à lui-même. Cependant, cette même enfant ayant grandi qu'avec l'unique présence de Leirth, dû rapidement apprendre à s'adapter et faire une croix sur une enfance plus banale si elle voulait qu'ils s'en sortent. Ce n'était pas uniquement d'ordre de richesse, bien qu'ils étaient loin de rouler sur l'or, mais surtout pour un soutien moral, car malgré cette nouvelle vie, son géniteur ne pouvait pas oublier celle qui avait partagé la sienne.
Le corps de sa femme reposait sur la terre de la neige éternelle. Oui, elle mourut quelques mois après la naissance de leur fille, soit quelques jours à peine avant leur départ pour Bilgewater. L'homme fut dévasté par cette perte, mais fit la promesse sur le lit de mort de son épouse que de veiller sur leur enfant. Promesse qu'il tenait maladroitement, car jamais Valh ne put le voir sobre et pourtant, elle ne pouvait se résigner à lui en tenir rigueur. Après tout, si elle était encore en vie, c'était grâce à lui et elle comprit rapidement que si elle voulait le rester, qu'elle devait se démener. Donc, dès son plus jeune âge, elle plongea dans la cruelle réalité qu'offrait la Baie des Pirates.
La native de Freljord connue de nombreuses raclées dont certaines qui faillirent la conduire dans les bras de la Grande Barbue, or, de ces dernières, elle apprit énormément et pu s'adapter sans mal aux lieux. Développant des connaissances et des aptitudes bien particulières pour survivre. Que ce soit s’allier à la réflexion et la vivacité d'esprit, pour de contourner des affrontements perdus d'avance, ou se laisser à certains de ses vices et envies, afin d’asseoir sa domination sur ceux qui avaient pensé à tort, pouvoir la détrousser, si ce n'était bien plus encore. La jeune femme prit goût à ces échanges brutaux et sanglants. Ces jeux dangereux qu'elle affectionnait, faisaient à ses yeux partie intégrante de ces charmes qu'offrait cette cité. D'une certaine manière, ils étaient moins néfastes que l'alcool, bien que parfois, elle n'était pas contre s'égarer dans quelques tavernes.
Cependant, la vie en Bilgewater lui restait compliquée, afin de subvenir aux besoins de son père et d'elle-même, Valh dut rapidement trouver un boulot en tant que forgeronne, dans une boutique d'arme qui surplombait de peu les quais-abattoir et dont la renommée était plus que correcte. Sabres, crochets, harpons, armes à feu, tant que ça tranchait, transperçait et tuait, il fallait les construire et les vendre. Son patron, un dénommé Bleth, faisait partie de ces hommes avides d'argent et de ces patrons pour qui le travail de ses employés n'était ni assez bien, ni assez rapide. Pourtant, elle sut se faire apprécier malgré l'aigreur constante qui caractérisait son supérieur à la barbe grisonnante.
Suite à une longue journée de travail, elle dut faire face à un affrontement qui mit son existence en péril, plus qu'à l'accoutumé. Ses ravisseurs semblaient l'avoir étudié un moment avant de la piéger ainsi. Alors que l'on menaçait sa gorge d'une lame qu'elle retenait de ses mains, un froid inexplicable s’empara du poignet de son adversaire et engourdit le membre en question. Surprit par ce nouvel élément, la jeune femme put reprendre l'ascendant malgré ses nombreuses blessures. S'en suivit la venue d'un individu semblant étranger au combat. Dans le doute, elle pointa sa lame en sa direction, sans montrer le moindre signe de faiblesse, il ne le fallait pas, sinon, elle mourrait. Or, cette personne se présenta sous le nom de Weynn, un homme devant être dans sa tranche d'âge, une allure peu combative et qui souhaiter l'aider. L'aider oui. Et puis quoi encore ? La sournoiserie en Bilgewater était omniprésente, au point que le moindre acte de bonté était perpétuellement remis en question. Ce qu'elle fit avec lui durant de longs mois.
C'est ainsi qu'elle découvrit : ses origines dont son père l'avait privé de longues années durant, et l'homme qui allait s'emparer d'une partie de son cœur. Un bel avenir en perspective, non ?
S'il y a bien une chose qu'on apprend ici, c'est qu'il faut toujours rester en mouvement.
La cinglée aux cheveux de braise. Il était vrai qu'une partie la respectait et que la native d'ailleurs devrait faire de même, pourtant cela lui était impossible. Lorsqu’elle coula le Fléau des mers et son navire, elle fit en sorte d'effacer tous ceux qui le servaient, et parmi eux, se trouvait Leirth. Il lui avait été fidèle uniquement dans les mots et dans son métier qu'il exerçait surtout pour leur offrir un semblant de vie, mais cela, est-ce qu'elle s'en était intéressé ? Comme pour tous les autres : pas le moins du monde. Peut-être n’avait-il pas été le meilleur des pères, mais aux yeux de Valh, il fut le sien et elle le chérissait à sa manière malgré sa dépression et sa dépendance. La jeune femme ne pouvant assister à sa sépulture, espérait qu'il puisse maintenant trouver la paix, bien que son absence eût creusé un vide en elle.
Fortune par ces actes ne fit pas qu'assombrir son cœur, cette idiote avait privé la cité d'un dirigeant dont la poigne de fer, l'empêchait de sombrer dans un chaos encore plus grand. Maintenant le gros lot coulé et la place libre, les guérillas éclatèrent à la moindre occasion et les meurtres s’amplifièrent grandement. Seule la survie subsistait.
Une année pendant laquelle Valh surmontait le deuil de son père accompagné de Weynn s'écoula. Hélas, ses efforts furent réduits à néant par un événement encore plus dévastateur que la Marée Rougeoyante. D’immenses ombres mouvantes envahirent la cité pirate. De cette brume noire enveloppant les lieux, les spectres s'abandonnèrent à leur rage, ôtant la vie de quiconque croisèrent leur chemin. Alerté depuis quelques heures déjà, le couple était en mouvement, courant vers le temps de Nagakabouros afin de pouvoir connaître de nouveaux lendemains. Dans leur course effrénée, les deux ne firent pas attention à ce qui les menaçait, pensant que se retourner viendrait à perdre l'avance qu'ils avaient, ce qui n'était pas faut en soi. Cependant, c'est un bruit d'os se brisant et la résistance qu’offrit son partenaire que Valh dû se retourner.
Un crochet ensanglanté et à l'aura impie avait transpercé le torse de son amant. La main de ce dernier lâcha celle de sa compagne, lui demandant dans un dernier souffle de fuir aussi loin que son corps lui permettrait. Chose qu'elle ne pouvait se résoudre à faire, ayant du mal à encaisser une nouvelle perte, jusqu'à que Weynn fut tiré à son bourreau. Le voyant extirper l'arme de son thorax, elle vit une lueur quitter son corps. Cette dernière fut absorbée par la lanterne verte flottant aux côtés de la créature. Le crâne surplombant le corps de l'entité, la fixa de ses orbites vides tout en lui offrant un sourire des plus malsain. Cette vision lui offrit un sentiment d'angoisse qu'elle n'avait jamais connu et qui la marquerait à jamais. Suite à cela, ses jambes lui répondirent enfin. Valh put reprendre sa course, accompagnée d'un rire dément, tandis que des larmes s’écoulèrent.
Depuis cette nuit de l'horreur, la native d'ailleurs était à la fois brisée mentalement et déterminée à se venger, ainsi, elle consacra l'entièreté de sa survie à la traque de Fortune et du spectre plus connu sous le nom de Thresh. Pour cela, elle avait quitté son travail de forgeronne pour vivre en tant que chasseuse de primes. Ainsi, elle pouvait amasser des informations sur ces cibles, renforcer ses aptitudes au combat et bien entendu, se faire un minimum d'argent.- - - la patrie est la où se trouve le coeurAh, Bilgewater et ses âmes damnés, ses croyances envers la Mère Serpent et ses enfants abyssaux exploités des Hommes pour leurs propres profits. Ses rêves de richesse et d’oisiveté brisés par les odeurs de viscères exposées trop longtemps au soleil et des cadavres jonchant les rues à chaque levé du jour. C'est un endroit où la vie y est difficile et surtout très odorante. Pas un jour ne s'y passe sans qu'un mort ne daigne s’exhiber sur le bois ou la pierre moisie des quais, qu'il soit de la terre ou des mers. Que cela vienne d'un règlement de comptes, de la folie d'un individu, d'une simple envie de se faire de l'argent facilement, voire même d'un boulot bien trop dangereux. Oui, travailler dur et mourir vite, cela n'a jamais été aussi vrai qu'ici, et nombreux sont ceux qui font appel aux croyances locales afin de trouver les bonnes grâces auprès de la Grande Barbue, espérant ainsi faire fortune, profiter de sa protection et dans le pire des cas, trouver une fin à ses côtés.
Nagakabouros, une divinité qui d'après leur prophète Buhru se base sur le mouvement : le désir implanté en chaque vie doit être assouvi, ainsi, l’individu reste en mouvement constant, servant l’univers créé. Grossièrement, c'est une religion qui permet presque tous les vices. Sans avoir vraiment conscience, c'est ce que font une grande partie des habitants de la cité pirate, que ce soit par l'avarice, l'alcoolisme ou même la luxure.
Valh en revanche y répondait moins qu'une majorité, ayant plus de retenue. Pourtant, cela ne l'empêchait pas de mentionner la Mère Serpent en de rares occasions, prouvant d'une certaine manière un désir de suivre le mouvement. Pourtant, en parlant de suivre, la nouvellement autoproclamée Reine de Bilgewater ne lui plaisait pas. Raison de la mort de son père, elle ne vit qu'en elle une opportuniste qui cherchait à s'emparer du trône sans avoir pris en compte tout ce que ce titre incombait. Ainsi, la ville portuaire dénuée de la poigne de fer du Fléau des mers depuis sa disparition, était en proie à un chaos encore plus important.
Chaos que la jeune femme combattait à longueur de journée en chassant la vermine humaine, tout en essayant d'atteindre la folle aux cheveux de braise qu'elle souhaitait voir mourir. Que ce soit pour vengeance personnelle ou pour le bien de la ville elle-même.- - - les pouvoirsNative de Freljord, Valh en conserva quelques traces malgré le fait qu'elle n'avait jamais pu connaître ces terres enneigées. D’abord, par un corps légèrement plus froid que la moyenne malgré les températures tropicale de l'île. Suivi de longs tatouages bleutés sur son corps, un rappel constant de ses origines. Et surtout, par un fin touché glacial duquel le givre recouvrait peu à peu ce qui était à son contact, lorsqu'elle le désirait.
Vivant depuis plus de vingt ans à Bilgewater, île réputée par une population grandement hétéroclite et ayant été confrontée à la brume à de nombreuses reprises, en plus de ses propres facultés. La jeune femme vit entourée de magie et de banalités. L'un offrant plus d'opportunité que l'autre, créant ainsi diverses inégalités. Or, la vie était faite ainsi, et tant que les ''Nés Magiques'' ne s'en servait pas à mauvaise escient, elle n'avait rien contre eux. - - - la brume noireLa Brume noire. Il n'y avait pas mieux que les habitants de Bilgewater pour savoir ce qu'elle valait vraiment, sans pour autant en connaître les véritables desseins. Chaque année depuis plus de dix ans, la nuit de l'horreur envahissait les lieux. Ravageant la ville portuaire et faisant d’innombrable mort qui finissaient par se relever en tant que spectre. Autant dire qu'une fois de plus ou de moins, seul le nombre de survivants changeait au contraire des activités de la ville. Ce fut à chaque fois, grâce à l'aide de l'Apôtre de la vérité, Illaoi, et ceux qui la suivaient, que la cité n'y succomba. Ainsi, elle put se relever à l'aube qui suivait ses heures cauchemardesques, bien que cette entité ténébreuse semblât gagner en ampleur chaque année.
Était-il vraiment nécessaire de préciser qu'après la mort de Weynn, causé par le Garde aux chaînes lui-même, que Valh en voulait aussi personnellement à l'un des représentant des Îles Obscures et meneur d'une partie de cette brume ? Pour peu qu'elle verrait le moindre signe de cette présence impie, elle serait à même de vouloir traquer celui qui avait exécuté l'homme qu'elle aimait. Bien qu'elle sût pertinemment ne pas être à la hauteur de ce dément, elle se devait d'essayer. Cependant, chasser l'auteur de la brume noir ne faisait pas partie de ses priorités, il se pourrait même qu'elle ignorait qui en était le responsable et pour quelles raisons. Au mieux, la givrée s'en moquait éperdument. Il fallait dire que tuer par amour était quelque peu similaire à une vengeance.
En ce qui concernait l'emprise dont était capable la brume noire, la jeune femme ne se posait pas vraiment de question à ce sujet, elle cherchait à survivre dans l'unique objectif de crever Fortune et Thresh, ou de trouver la mort en essayant. Mais si combattre la brume devait faire partir d'une étape cruciale afin de dénicher le spectre à la lanterne verte, elle le ferait. À moins que cette dernière venait à corrompre son esprit, après tout, c'était bien le désir de vengeance qui l'animait, couplée d'un mentale bien trop instable. - - - relations
- Champions:
Miss Fortune : actuelle Reine de Bilgewater dont une partie du peuple remet en cause sa légitimée, a tué Gangplank, plongée la ville dans un chaos encore plus grand et à exécuté le père de Valh, qui souhaite maintenant sa mort pour ces deux dernière causes, voir les trois.
Thresh : spectre sadique et tourmenteur des âmes damnées qu'il prend en chasse et enferme dans sa lanterne. L'entité est l'assassin de Weynn, qui fut le partenaire de vie et l’amant de la jeune femme. Cette dernière souhaite lui faire payer ce geste d'une sympathie particulière.
Gangplank : persuadée comme la majorité qu'il a succombé à l'assaut de Fortune. Le Fléau des mers est à ses yeux le seul Roi de Bilge’ que méritait la cité des pirates : cruel et porteur de richesse, il tenait la ville d'une poigne de fer, limitant ainsi le chaos qu'avait libéré la folle aux cheveux de braise en mettant un terme à sa vie.
Illaoi : Apôtre de la vérité, cette dernière a sauvé l'île et la vie de la givrée, à chaque fois que la brume vint les envahir. Cette femme ne passant pas inaperçu suivit de son peuple un peu plus réticent quant aux paylangis (habitants ne venant pas de Buhru), avaient aussi apporté l'espoir et la croyance en Nagakabouros. Elle se devait de la remercie, un jour.
Pyke : L'éventreur des Abysses dont personne, ou presque, ne connaissait le véritable nom. Est un individu ou une entité omniprésente voir omnipotente affichée sur les tableaux de prime, sans nom ni visage concret. Une simple description qui le fait davantage passer pour un spectre assoiffé de vengeance, plutôt qu'un simple humain s'amusant à tuer capitaines et hommes d'argents par pure folie. Bien entendu, comme tout chasseur de primes, Valh a conscience de la présence de cet individu et des légendes qui l'entourent. C'est bien pour cela qu'elle garde une oreille attentive à son sujet. Est-ce qu'elle ira le chasser un jour ? Il semble bien trop dangereux ou insaisissable pour.
Graves & Tobias Fate : deux personnages qui bien connus de la Baie des pirates. Ces deux-là ont aidé à couler Gangplank d’après les dires. De leur plain gré ou non, une prime pèse toujours sur leur tête. Or, les motifs relevant davantage des larcins que des meurtres prémédités ou dut à la folie, n’intéressait pas la givrée.
Fizz & Nautilus : représentant des légendes importantes dans la culture locale, mais visant davantage les marins et capitaines plus que ceux restant sur la terre ferme, Valh ne se sentait pas trop concernée par celles-ci. Or, payer un tribut à l'océan, que cela était en or ou en sang, pouvait toujours apporter la bonne grâce du Titan des profondeurs ou celle de la Grande Barbue, afin d'éviter de croiser le Filou des mers et les mauvais tours qu'il pouvait leur jouer.
Tahm Kench : son existence à travers Runeterra était souvent prise pour une légende en dehors des trois cités qu'il aurait l'habitude de côtoyer : Bilgewater, Piltover et Zaun. Cependant, certains auraient tout perdu à côtoyer le Roi des rivières. Ce dernier étant réputé pour promettes monts et merveilles à quiconque l'entendait. Mais à quel coût ? Bien qu'un statut de légende, les quelques histoires qui vinrent aux oreilles de Valh, lui offrit une plus grande méfiance envers les promesses alléchantes, ainsi qu'aux poissons et poissons chats humanoïdes doués de paroles.
- Pnjs:
Bleth : son ancien employeur à la barbe et à la chevelure grisonnante. Patron avare d'une boutique et forge d'arme renommée des quais-abattoirs, il a toujours un goût amer suite au départ de la native de Freljord qu'il avait fini par apprécier autant par son travail que par sa personne. Parfois, la givrée repensait à cette période de sa vie, se disant qu'elle avait peut-être fait une erreur en quittant la seule chose qui lui garantissait encore une certaine stabilité.
Weynn Rolath (Mort) : l'homme pour qui avait penché son cœur maintenant meurtri par son absence, provoqué brutalement par la faucille de Thresh. Penser à lui, pousse la jeune femme à poursuivre son désir de se débarrasser de la vermine humaine, mais lorsqu'elle fait face à son impuissance dans son souhait de vengeance, il lui rappelle qu'elle en est certainement incapable, comme le fait qu'elle n'avait pu le protéger de ce démon. La plongeant ainsi dans une dépression autodestructrice, si ce n'est meurtrière.
Leirth (Mort) : il n'était pas le meilleur des pères, mais il restait le sien et elle l'aimait. Bien trop souvent sous le joug de l'alcool si ce n'était toujours afin d'oublier le décès de sa femme, Valh ne lui en avait jamais tenue rigueur, bien que lui-même s'en était voulu jusqu'à son dernier souffle. Sa mort précipité par la prise de pouvoir de Fortune, fut le premier déclencheur de longues années de dépression et l'élément déclencheur d'une soif inextinguible de vengeance.
POUVOIRS | CAPACITÉS | ARMES Arme : Un sabre à la lame légère recourbée et faite d'un acier qui apparemment, aurait été plongé dans la glace la plus pure de Freljord. De belles paroles.
Pouvoir : Enfant des Glaces : Originaire de la terre où la neige y est éternelle, Valh possède un sang-froid qui ne se caractérise pas uniquement par son caractère. Au contraire des individus normaux, son corps dégage naturellement une certaine fraîcheur. Bien qu'ayant grandi tel un enfant de Bilgewater, le givre qui coule dans ses veines, mêlé à ce liquide pourpre et vital à chacun, lui permet de l'appliquer sur diverses surfaces afin de propager son élément.
L’ampleur de ses pouvoirs, dépendent de : -sa maîtrise (encore approximative sur certains points), -son énergie, -la concentration employée sur l'instant.
Liaison sanguinaire : Son sang amplifie l’efficacité ainsi que la robustesse de son givre et de sa glace, pour peu qu'il entre directement en contact avec sa cible avant que Valh use de ses dons. Les effets amplifiés dépendront de la quantité de sang versé et de l'énergie qu'elle est prête à mettre dans les diverses utilisations qu'elle en fera.
Givre salvateur : Son élément ne peut affecter négativement son corps, au contraire, ce dernier peut l'aider en certaines occasions : -Geler une blessure ouverte afin de limiter la perte de sang. -Refroidir son corps de manière à ralentir ses fonctions vitales. (Ex : ralentir son flux sanguin pour prémunir d'éventuelles hémorragies.) -S'enivrer du froid afin de calmer son esprit et ainsi pouvoir méditer.
Ces utilisations demandent une attention constante, qui plus est, certaine sont généralement coûteuse en plus diminuer la mobilité de son utilisatrice, si ce n'est l'empêcher de se mouvoir. Ainsi, elles seront rarement, voir inutilisable en cas d'affrontement. ET TOI INVOCATEUR ? Valh, vingt-cinq ans. J'ai pêché votre forum dans un top site et j'espère vous hameçonner un.. un ami, qui m'a suivi jusqu'à votre discord.
Oh.. et pardon si la fiche est trop longue. |