| | KYTHERA ZAAVAN ELISE surnom: La reine araignée nation : Noxus métier : Maîtresse de la maison Kythera Zaavan et agent de la Rose Noire age : 447 ans allégeance : Rose Noire race : Humaine magiquement altérée
Déterminée, Manipulatrice, Mystique, Patiente, Fanatique, Visionnaire, Opportuniste, Désespérée QUI ES TU ?
descriptions
Délicieuse et trépidante, la dame vit entre mondain et réclusion, promettant de doux mensonges dans les oreilles de ceux voulant bien l'entendre. Audace de l'éternité, ses traits sont figés éternellement dans une jeunesse cruelle. Un visage angulaire, des cheveux d'un noir d'ébène aux reflets rougeoyants des yeux aux pupilles carmin, un corps aux formes à se damner. Voilà le prix qui a été volontairement payé par la dame lors de son pacte avec le Dieu Araignée.
Pourtant dans toutes ces soies, cette voix posée et plein d'assurance, il y a une forme de vitesse, une inexorable course vers quelque chose de plus grand. Voilà plusieurs siècles qu'elle vit pour cette divinité tordue, pour cette créature maudite. Et cela ne durera pas, elle se sert de ce pouvoir par nécessité plus que par plaisir, ses mots sont fiel comme les toxines qui coulent de ses griffes anguleuses. Plus de pouvoir, toujours plus, année après année, sacrifice après sacrifice. Un prix minime pour pouvoir un jour tout supplanter. Au final, la dame le sait, il y a toujours plus puissant, toujours plus fort, toujours plus absolu. C'est pourquoi elle continue. La Rose Noire, le Bastion, Vilemaw. Un jour elle sera au dessus de tout cela. Mais avant ?
Patience...
naissance d'une légende
La dame foule le sol de ce monde depuis maintenant bien longtemps. Autrefois connue sous le nom d'Elise Kythera, héritière d'une puissante maison. Elle n'était cependant autre chose qu'une monnaie d'échange, un beau prix à échanger dans un mariage à but politique. Aussi, toute sa vie elle été entraînée dans ce but. Grâces sociales, couture, danse, peinture. Des arts de la conversation en passant par une culture enrichie, rien ne fut laissé de côté pour que la jeune femme soit l'objet d'un échange prisé.
Mais elle en voulait plus. En ce temps, Elise ne comprenait pas son rôle dans sa société. Pourquoi voyait-elle ces hommes partir en guerre, diriger ces maisons. Ces grands noms illustres lui faisaient tourner la tête, elle se savait intelligente, belle et volontaire, pourquoi ne pouvaient-ils pas le comprendre ? Pourquoi faisaient-il front de la sorte à chaque initiative qu'elle pouvait montrer ? Non Elise, tu dois écouter. Elle serrait la mâchoire. Sois une dame Elise, tu dois faire un bon mariage, sourit. Mais elle voulait aussi s'en aller apprendre dans les belles et grandes cités d'ailleurs. Elle voulait danser sous les étoiles de ces mystérieuses patries dont les noms étrangers sonnaient tel de fugaces promesses indicibles.
Elle voyait ces gens de tout horizon parler de leur foyer lors de chics réceptions, leurs accents, leurs manières, la grâce de leurs gestes. Cela suffit Elise, n'importune pas dame Rahid, ces sujets ne sont pas pour toi. C'était injuste, si bonnement injuste. Elle les comprenait mieux que quiconque, elle entendait mieux que ces imbéciles les enjeux dont elle n'entendait que des murmures.
Alors pourquoi la refuser en permanence ?
Elle prit son destin en main, cachant ses traitrises derrière des sourires de jeune femme de bonne famille, elle prit le temps d'organiser les choses en sa faveur, choisissant d'écouter plus que d'agir. Elle portait attention à tous les murmures, les idées, les non-dits et les faisait sien, jouant de sa jeunesse et de sa bonne disposition pour que l'on croit qu'elle n'était pas qui elle était véritablement. Elle choisit la voix de la diplomatie plutôt que de la violence sans nom.
Cependant, elle était loin d'imaginer que, quelque part, des yeux étaient déjà rivés sur la jeune Kythera et que ses manigances n'étaient allouées que par un esprit similaire au sien bien qu'infiniment plus puissant.
Le mariage réunissant la maison Kythera et Zaavan fut des plus sublimes et marqua l'histoire comme l'avènement de deux grandes et fières familles se réunissant pour le bien de la patrie de Noxus, mettant leurs bien en commun afin d'en accroître sa gloire. Ou plutôt, là étaient les termes officiels. Les parents d'Elise, eux, étaient furieux, ils avaient prévu un autre mariage pour leur fille, un qui, bien évidemment, les avantageaient bien plus. Ils ne s'étaient rendus compte de la supercherie que leur progéniture leur avait tendu que bien trop tard et n'y pouvaient plus rien. Si ils objectaient, le clan en paierait le prix, alors les voilà à la réception, tout sourire, échangeant des rires forcés avec des gens qu'ils n'auraient pas invité en temps normal au moindre bal.
Elise jubilait, magnifique, éthérée dans son immensément longue robe lorsqu'elle rejoint Berholdt devant l'autel.
Ce plaisir, fut néanmoins de courte durée. La maintenant dame Kythera Zaavan réalisa bien rapidement que les ambitions de son puissant époux n'allaient pas dans le sens des siennes et que si ses mots avaient eux aussi été autrefois doux, les années le rendait acide. Elise dirigeait la maison d'une main de maître ainsi que les deux familles. L'ego de son époux n'acceptait pas que sa femme dispose de tant alors qu'il devait continuer de jouer le rôle d'un chef de façade.
Un soir, alors qu'ils dinaient tous les deux dans la grande salle à manger de leur manoir, Berholdt décida de briser le silence qui régnait entre eux depuis maintenant quelques temps.
Quand me donnerez-vous des enfants ? Demanda-t-il froidement.
Elle s'arrêta de manger, ressentant la pique comme une lame plantée en son sein. Voilà maintenant plusieurs années qu'ils essayaient de procréer sans succès.
Vous savez que les choses ne sont pas aussi faciles... Répondit-elle en se mordant la lèvre inférieure. Nous... Nous adopterons si il le faut, ce n'est pas comme si cela était une impossibilité, n'est-ce pas ?
Le silence retomba, lourd comme tel une couche hivernale de neige. Elle sentait le regard de son mari sur elle alors qu'elle reprit son repas, elle ne savait pas quoi lui dire de plus. La maison Kythera n'était pas connue pour leur nombreux héritiers, cela avait toujours couru dans leur sang et il semblait qu'Elise en payait encore plus le prix que ses ancêtres. Elle se rendit compte alors à quel point elle serrait les couverts tant ses jointures étaient devenues blanches, il l'avait frappé là où elle avait le plus de mal à s'accepter.
... Donc en plus de me laisser ce rôle de façade vous ne me faites même pas l'honneur d'une progéniture ? Claqua l'homme, arrachant de nouveau à sa femme une grimace de profonde honte alors qu'elle serrait à présent son ventre. Elise, ma chère, comment trouvez-vous le vin ?
Elle releva subitement la tête, sa bouche s'entrouvrit et une expression d'incompréhension. Alors qu'elle voulu répondre, elle fut frappée d'un vertige, son sang sembla devenir feu. Elle se mise à tousser, se grattant avec fureur la gorge à s'en arracher la surface de l'épiderme, amenant le sang.
Sa chaise tomba lourdement au sol dans un bruit sourd tandis que Berholdt se leva doucement sans pressement aucun, le bruit de ses chausses claquant au sol avec sévérité il s'approcha de la forme tremblante, vomissant à profusion de sa femme pour l'attraper par les cheveux.
Voilà ce qui se passe quand on me prend pour son serviteur, Elise. Si tu avais au moins fait de moi un père, j'aurai pu y penser autrement, mais non. Il faut toujours que tu rendes tout diffi-
Il n'eut pas le temps de répondre qu'une douleur intense irradia son flanc. Dans un dernier élan de rage, elle s'était ruée sur la lame qu'il portait en tout temps à son côté et venait de la planter dans sa hanche. Si elle devait partir alors lui aussi la suivrait. Il tomba dans un râle rauque au sol, s'arrêtant de bouger dans une flaque de son propre sang s'étendant petit à petit dans une marre d'obsidienne.
Elle tremblait, secouée par l'acte qu'elle venait de commettre et à cause du poison coulant dans ses veines. Elle vomit une fois de plus un jet de bile, alors, le visage penché vers le bas elle regardait ses mains. Des mains ensanglantées sur lesquelles des goûtes de sueur tombaient sans cesse.
Un hurlement d'horreur mêlé de désespoir déchira le silence du manoir Kythera
Elle ne se réveilla que plusieurs jours plus tard, sauvée par une femme à l'extrême pâleur qui lui proposa un marché. Elle n'avait que faire des querelles entre les maisons nobles tant que ces dernières respectaient sa souveraineté. Aussi, elle reconnaissait le talent et la détermination d'Elise. Alors, elle lui expliqua qu'elle avait besoin de quelqu'un, quelqu'un d'assez intransigeant et intelligent pour aller chercher pour elle des artefacts sur les îles obscures, un lieu légendaire dont l'existence était maintes fois réfuté. Elle fut claire dans ses termes, soit elle acceptait et pouvait continuer de profiter de cette seconde chance, soit elle trouverait un autre héritier capable de cela et devrait donc, par conséquent, se débarrasser d'elle.
Je ne souhaite qu'une seule chose, dame Kythera Zavaan, votre dévotion. Dit-elle, souriante.
Elise ne prit pas longtemps avant d'accepter. C'est ainsi qu'elle apprit les secrets de cet ordre, la Rose Noire qu'elle venait de rejoindre, leurs arcanes mystiques et qu'elle fut entraînée dans leur façon. Quelques mois plus tard, elle naviguait en compagnie d'une cabale vers ces îles noires.
Elle comprit en arrivant pourquoi aucun marin n'avait voulu de s'y rendre. Pourquoi il avait fallut menacer et faire chanter un capitaine afin d'arriver sur les côtes de ces terres maudites. Le sable était d'un gris anthracite d'une noirceur absolue. Le vent s'était mu en un courant d'une moiteur artificielle. Les terres que ce roi maudit avait décidé de souiller dans sa folie.
Ils cherchèrent le crâne de ce chef de guerre que la dame pale lui avait demandé pendant plusieurs jours sans succès. Pourtant, elle se savait proche d'une découverte, proche de quelque chose de grand.
Quelle ne fut pas sa surprise, lorsqu'au détour d'une grotte aux parois terriblement lisses comme taillées pour créer un temple dédié aux fumées de l'horreur;
L'entièreté de son groupe fut décimé.
Elle était à genoux, le regard vers le sol, immobile alors qu'elle entendait les cris horrifiés de ses compagnons se faisant encore dévorer vivant par une myriade d'araignées. Son visage tremblait tendit qu'elle n'avait aucune réaction pour les aider, essayant de taire tant bien que mal le bruit malade des os brisés, l'odeur sucrée et acre des entrailles se répandant en une morbide éclaboussure moite.
Elle ne dit rien alors qu'un bras chitineux remonta son menton afin de la jauger.
Dame Elise soutint le regard du béhémoth de carapace aux milles yeux. Le dieu arachnide cliquetait de toutes ces pattes devant elle alors que les larmes continuaient de couler des yeux de sa victime. Pourquoi elle se demanda-t-elle, pourquoi venait-elle d'échapper à une vie de misère et de mort pour y retourner, pourquoi devait-elle continuer à contempler ces horreurs ?
Elle senti alors un feu naître en elle.
Non, elle refusait de continuer à être un jouet pour quelqu'un, elle était noxienne bon sang ! Elle aussi était fière et puissante face à l'adversité, elle aussi devait continuer encore et encore ! Relevant son menton, elle adressa un regard impérieux à la créature.
Les yeux de l'araignée brillèrent d'intrigue. Difficile de dire si la défiance de la dame, une trace du poison autrefois dans ses veines ou bien un éclair de folie traversa le corps de l'entité ravagée par la corruption des îles obscures. Mais, en un instant, elle senti une douleur sourde dans son épaule alors qu'un liquide chaud coulait en elle.
Une fois de plus, le cri d'Elise déchira le silence.
Lorsqu'elle revint sur le bateau où l'attendait les quelques membres d'équipage restés là. Elle était souriante, radieuse, sereine. Elle intima avec une grâce et une douceur incroyable au timonier l'ordre de partir. Sa beauté était-elle que personne n'osa y dire quoi que ce soit ni lui demander ce qui était advenu de la cabale qui était venue avec elle.
Le navire s'en alla non sans que la dame continua de regarder les côtes de l'île, une douce mélodie de chitine et de soie dans les oreilles...
la patrie est la où se trouve le coeur
Elise reste noxienne quoi qu'il en soit et continue d'oeuvrer avec la Rose Noire pour ses intérêts. Elle ne porte pas d'amour particulier pour les conquêtes de sa patrie. Cependant, c'est là qu'elle y réside la majeure partie du temps quand elle ne part par chercher des artefacts où qu'elle ne vaque pas à ses propres ambitions personnelles. Dire donc qu'elle n'éprouve pas une légère forme d'attachement serait faux, cela dit, elle est en vie depuis si longtemps que voir son monde tant changer autour d'elle est parfois difficile. Sa Noxus n'est pas celle qu'elle a connu, aussi il est difficile pour elle de dire qu'elle y est pleinement loyale. Elle croit, en revanche au bien fondé de la Rose Noire et si cette dernière s'aligne dans les idées de sa culture, alors s'y donnera.
les pouvoirs
Le corps d'Elise est nimbé de puissance magique. Déjà autrefois une magicienne assez accomplie, ce talent s'est mélangé aux soins étranges de la dame pale et au venin de Vilemaw, faisant d'elle une femme entre deux mondes. Elle pratique une magie basée sur les araignées et la mystique l'entourant, de noirs rituels aux buts mystérieux, créants des familiers chitineux, certains ayant pour but de servir d'espions, d'autres de guerriers, certains encore de bombes.
Elle a apprit à modifier son corps pour obtenir les caractéristiques d'une prêtresse de son dieu noir pouvant s'armer elle aussi de venin modifié selon sa magie, de crocs et de griffes enduites de cette même substance et créant des cercles mystiques à base d'une soie chargée de pouvoir. Elle continue d'approfondir ce pouvoir étrange au fil des années depuis plusieurs siècles maintenant et possède une librairie personnelle remplie de textes, découvertes personnelles et recherches antiques sur la symbolique et le caractère sacré d'une telle créature qu'elle cache avec grande jalousie tout comme son apparence.
Enfin, quand la magie ne suffit plus, la dame prend une forme sinistre, son corps devient carapace, ses membres s'étirent gracieusement dans un bruit malsain et elle devient un avatar du dieu araignée. Ses capacités physiques déjà impressionnantes en sont décuplées et elle peut se battre avec plus de précision, décidant le plus souvent vers une approche plus... Brutale.
La dame reste noxienne, après tout.
Les pouvoirs de la sorcière arachnide sont à la fois sa plus grande fierté et une source d’inquiétude. En effet, Vilemaw lui a offert une force et un pouvoir sans mesure, un pouvoir grandissant. Mais que se passerait-il si elle perdait le contrôle ? Que se passerait-il si le chant de ce dieu noir devenait un cri persistant au lieu d’une tendre mélodie ? Au fond, si la reine est aussi enclin à développer sa propre indépendance, c’est aussi par peur que cette puissance lui échappe. Trop longtemps elle a eu à écouter, entendre, obéir. Noxus révère la force n’est-ce pas ? Alors elle deviendra la plus grande d’entre tous. Ces pouvoirs, ce mysticisme, il doit être compris et utilisé. C’est pourquoi elle renforce son esprit et qu’elle adopte cette bravoure.
Afin d’être la seule en charge.
La magie est les forces courant dans ce monde ne sont pas un souci pour la dame Élise. Elle se sentirait bien idiote de refuser le pouvoir aux autres quand elle même en bénéficie après tout. Adoptant une position purement pragmatique, l’araignée considère que quiconque maîtrise à la perfection son pouvoir mérite respect, en revanche, ceux qui se laissent dévorer par leur puissance ne valent pas mieux que de vulgaires cloportes. Une personne engorgée de son propre vin n’est ni belle ni puissante, ce n’est qu’une bombe à retardement. C’est pourquoi elle trouve la position de cités comme Demacia particulièrement risible. La magie est faite pour être maîtrisée, la craindre et vouloir l’abscondre n’est rien d’autre que couardise et obscurantisme.
la brume noire
Un problème définitif. La brume inquiète Elise. En effet, quel intérêt garde-t-elle envers la dame pale si les îles obscures viennent d'elles même sur le reste du continent ? De plus, à en croire la dite femme, si ce qui est sous les fondations de la capitale est si terrible que ce que l'on dit... Alors il est tout à fait possible que la reine araignée soit forcée à sortir de sa retraite personnelle.
Demacia y a survécu, n'est-ce pas ? Il est hors de question qu'elle ne survive pas à cela, hors de question de se retrouver encore une fois à genoux.
relations
Leblanc : Partagée entre peur, intrigue et respect, la dame en voit une alliée mais quelqu'un dont elle doit continuer de se méfier, ses objectifs sont cachés sous des milliers de voiles et de mensonges.
Vilemaw : Elle n'agit comme prêtresse du dieu araignée que pour mieux s'approprier un jour ses pouvoirs. Elle ne compte certainement pas rester à jamais à son service. Oui, elle s'emparera un jour de sa divinité, mais avec les évènements récents, une inquiétude est apparue en son sein, si avant elle avait le temps, est-ce toujours le cas aujourd'hui ?
Swain : Un imbécile au pouvoir trop grand. Mais un visionnaire. Un jour ses conquêtes se retourneront contre lui et ce jour là le monde se lèvera contre Noxus. Mais il sera trop tard pour qu'il s'en rende compte, enorgueilli dans le vin de ses propres réussites.
POUVOIRS | CAPACITÉS | ARMES Elise utilise une magie ancienne et profondément encrée dans un mysticisme antique. Vilemaw autrefois probablement une créature sacrée révérée par les anciens habitants des îles. Un véritable dieu ayant transmit une partie de ses pouvoirs à la dame.
Une magie noire lui permettant d'adopter une forme arachnide puissante et durable afin de pouvoir chasser. Celle-ci lui donne aussi la capacité de générer différents poisons en manipulant la nature magique de ces derniers. Elle peut aussi créer des toiles aux résistances différentes soit pour enserrer quelqu'un ou bien les utiliser dans des rituels comme cercle magique. De plus, elle peut modifier l'architecture de son corps même sous forme humain afin d'en manifester des membres arachnides pour s'aider ou bien tout simplement par exemple trancher un pauvre malheureux. Elise joui par la même occasion d'une beauté surnaturelle terrible offerte par sa transformation et de l'émission de phéromones particulièrement efficaces pour attirer les malheureux dans sa toile. Son corps est trop symétrique, ses traits trop parfaits, elle est la femme idéale.
Enfin, la dame peut créer de nombreux familiers aux buts variés prenant toujours la forme d'araignées. Des espions discrets en passant par des guerrières ou bien tout simplement une... Explosive, remplie d'un venin magique particulièrement corrosif.
Elle continue ses recherches et l'agrandissement de sa magie depuis maintenant des siècles, dans un exil imposé, cherchant toujours plus à se rapprocher de ce mysticisme d'un temps où les dieux foulaient le sol aux côtés des humains, ne traitant des histoires politiques des héritiers survivants de sa famille que pour continuer ses propres ambitions.
ET TOI INVOCATEUR ? Kriem, Elise, comme vous le souhaitez héhé ! |
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