descriptionsOn dit que je fais peur. ILS ONT RAISON. Des oreilles de chauve-souris, une queue de renard, de longs crocs acérés, des yeux brillants et un regard à faire glacer le SANG. Des cicatrices, un bras différent de l’autre. J’ai maintenant plus de la bête que de l’homme. OU ALORS JE L’AI TOUJOURS ÉTÉ. Il ne reste plus rien de l’ancien moi, je ne me souviens de rien. Il y a des souvenirs qui ressortent de temps en temps, mais la douleur est si forte que je ne peux m’accrocher à rien.
Quand les bribes reviennent. Je vois un reflet. Une barbe. Un corps baraqué. Ouais, un type normal. Un ancien gangster… Puis une lueur d’espoir dans un havre de paix à Zaun. Et du sang. DU SANG, BEAUCOUP DE SANG. IL EST MORT. JE L’AI DÉVORÉ. J’ai pris sa place. JE NE LUI RESSEMBLE EN RIEN. Je suis plus grand. Plus fort. JE N’AI RIEN À VOIR AVEC LUI.
CHASSER LA VERMINE.
FAIRE COULER LE SANG.
VIANDE
naissance d'une légendeRIEN.
NÉANT.
DU SANG.
CRÉATEUR SINGED.
CRÉATEUR
C R É A T U R E
Du sang. Juste ça. Je ne me rappelle de rien du tout. À chaque fois que j’essaye, c’est douloureux. La douleur. Une petite fille qui crie un nom. QUEL NOM ? JE L’AI DÉJÀ OUBLIÉ. Et ça recommence.
IMPOSSIBLE DE PENSER.
IL N’Y A QUE CHASSE ET PUNITION.
Non. Il y a autre chose. Deux silhouettes. Une odeur agréable, familière. Des petites filles et leurs amis. Je les aimais bien. Ils étaient insupportables, mais je devais protéger mes filles adoptives. Oui, c’est ça. Ma famille. J’ai arrêté mes bassesses pour ouvrir un havre de paix. UN SEMBLANT DE PARADIS POUR LES GENS QUI EN ONT BESOIN. Mais ça n’a pas duré assez longtemps.
Les ennuis sont arrivés. J’ai été enlevé. Je me suis débattu. Je n’avais rien pour moi. Ils devaient probablement me tuer. Une bande est venue me sauver. Mais tout a dérapé. J’ai senti du SANG. Encore. Mais le sang d’être chers. Ça m’a fait péter les plombs. J’ai tout fait pour les sauver. Et ça a encore déconné.
Puis la DOULEUR.
ENCORE DU SANG.
INCAPABLE DE BOUGER.
Je ne me suis jamais réveillé. J’étais inconscient, mais l’esprit lui était bien réveillé. La douleur était atroce. Permanente. Quelqu’un a parlé. J’ai reconnu la voix. JE NE L’AI JAMAIS OUBLIÉE.
Et j’étais censé mourir à cause des mauvais traitements.
Je ne sais pas comment je suis revenu à moi. J’étais sur une pile de cadavres. Mes os se sont cassés, réassemblés pour former autre chose. LA DOULEUR EST ENCORE LÀ. L’ODEUR DE LA PUTRÉFACTION AUSSI. C’était horrible. J’ai eu très faim. J’ai tout de suite tué et dévoré un pillard. Puis je suis passé à plusieurs autres personnes. Je ne me suis pas arrêté.
J’ai aussi tout oublié à cause de la DOULEUR.
•••
Tout ce dont je me souviens, c’est de la faim. Les crocs qui se referment sur la gorge d’innocents. C’était trop. J’ai tué un dernier innocent, l’homme qui habitait en moi. UNE BÊTE A PRIS SA PLACE. Je me suis donné un but : chasser tous les vauriens de la ville et sauver les innocents.
Maintenant, il n’y a que S A N G et C H A S S E.
la patrie est la où se trouve le coeurLA PATRIE EST CORROMPUE. JE RÉDUIRAIS LA VERMINE EN CENDRES. Tant que Zaun sera habitée par des criminels, elle ne sera pas parfaite. Il y a des voleurs, des vendeurs de shimmer. Les chem-barons. JE LES CHASSERAI TOUS. Chacun fait sa vie à Zaun. C’est très bien comme ça. Dans une autre vie j’aurai probablement essayé de rendre la ville meilleure pacifiquement. Mais on m’a donné l’occasion d’arracher des cœurs.
IL N’Y A RIEN DE MIEUX.
les pouvoirsPas de pouvoir. SEULEMENT DU SANG SUR LES MAINS. Je me fiche ouvertement des capacités des autres, ils peuvent saigner et donc mourir. Personne ne m’échappe. Et s’ils ne saignent pas, ils pourront aiguiser mes crocs.
la brume noireSI ZAUN N’A PAS EU RAISON DE LA BÊTE, LA BRUME N’Y ARRIVERA PAS NON PLUS. Je ne sais pas ce que c’est. Je ne veux pas savoir. Elle ne peut pas saigner, alors je n’en veux pas. Si elle arrive à Zaun je ne suis même pas sûr de pouvoir la différencier des effluves immondes de la ville.
relationsC’est rare que je m’attache à quelqu’un. Ils finissent tous par SAIGNER. Ils finissent tous par mourir. Je me fiche bien de ceux qui cherchent juste à survivre. Je ne chasse que ceux qui pourrissent Zaun. Les alentours ? Je n’y suis jamais allé. OU ALORS JE NE M’EN SOUVIENS PLUS.
Esprit brisé. Crocs et griffes, force et vitesse surhumaine, douleur constante. L’odeur du sang le met dans une rage et il ne chasse que plus férocement. Warwick n’obéit qu’à ses instincts les plus primaires, habité d’une faim insatiable. Les chambres qui pompent du liquide dans son dos et dans son bras droit le plongent dans une furie et renforcent ses coups dès qu’il sent du sang frais ou qu’il ressent une émotion négative particulièrement intense. Sans ça il est plus faible, bien moins sauvage, mais reste un redoutable adversaire.
Implants chem-tech : C’est de là qu’il puise la majorité de ses forces durant ses crises. Ses implants sont dans son dos et il en a d’autres dans les bras, tous reliés à son système nerveux. Les produits chimiques augmentent sa régénération.
Griffes augmentées : Suite à la perte de son bras droit, il a été réimplanté pour lui offrir une arme beaucoup plus robuste et puissante. Ses griffes sont plus longues et solides. Son corps a également été augmenté pour tenir les horribles expériences qui lui ont été infligées.
Crocs : Homme-bête, il a gagné d’immenses crocs lui permettant de broyer plus que de simples os.
je suis un CHIEN très âgé et j'ai un frein souple askip. J'aime aussi beaucoup le mot CRINGE
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