invisible boy {kyl'rian}

???? descriptions
Assis sur une chaise, vous n’allez pas le voir immédiatement. Il va falloir un peu de temps, avant que sa frimousse n’apparaisse. Celle-ci vous dévisage et vous ne voyez pas immédiatement ses yeux, car il a mis des lunettes de soudeur. Elles vous font glousser, car elles ressemblent à deux yeux globuleux. Il mâchouille un morceau de bois, un pic, et vous demande ce que vous venez faire dans son atelier. Il ne vous connait ni d’Adam, ni d’Eve. Pourtant il n’a pas l’air sur ses gardes. Il a même une attitude plutôt relaxée, à la cool et il n’en faut pas beaucoup plus pour qu’il vous propose un truc un boire. La curiosité attire les curieux et les curieux, les amis.
Vous lui expliquez chercher des pièces et il commence à parler, à parler, à parler ; à beaucoup trop jacasser. Un véritable passionné qui en oublie qu’il ne vous connait pas et qui va se laisser glisser sur sa chaise jusqu’à son bureau. Il ressemble à une table d’architecte, mais ce ne sont pas des rouages que vous voyez. Il n’y en a quelques-uns, gribouillés dans un coin de feuille, mais ce sont surtout des cercles, des symboliques, des glyphes magiques. Ils ne s’illuminent pas, mais à ses côtés, vous sentez que la magie ne demande que ça, de s’infiltrer dans chacune de ces écritures pour les illuminer et changer leur couleur en fonction de l’élément affilié à celle-ci.

Vous l’entendez ricaner, mais vous ignorer s’il se moque de vous ou bien si c’est une forme de timidité face à votre engouement. Une chose est sûre, il vous propose d’essayer avec votre propre magie et pour vous mettre à l’aise, vous sentez sa main protégée par des gants trop grands, comme tout le reste de sa tenue d’ailleurs, se poser sur la vôtre. Il vous invite à découvrir par vous-même, à essayer et tout porte à croire qu’il est prêt à vous faire confiance. Vous vous prêtez au jeu, vous ne vous méfiez plus et le temps passe incroyablement vite en sa compagnie. Vous vous étonnez de voir que pour un Vastaya, il est très ouvert avec vous. Vous apprenez même que son clan n’apprécie pas ce genre d’attitude et qu’il n’a pas été chassé de celui-ci, mais presque. Ils ne veulent plus le revoir, soi-disant parce qu’il brise les traditions en toute impunité ou le “secret”.

Il se confie un peu à vous et vous faites de même. Jusqu’à ce que la nuit pointe le bout de son nez et vous pousse à partir. Vous lui faites un dernier salut, il vous le rend, puis vous disparaissez. Il reste un instant assis, à nouveau à l’envers sur sa chaise, à dévisager la porte. Jusqu’à ce que la peau sombre de son visage s’illumine d’un sourire carnassier. Sa queue revient face à lui et c’est votre bourse que celle-ci tient. Il prend quelques pièces, mais pas tout pour que ça ne paraisse pas suspect, puis s’empresse d’aller la semer dans la rue pour que vous pensiez l’avoir perdu sur le chemin du retour.

???? naissance d'une légende
Le principal inconvénient, lorsque l’on vit des décennies, sans vieillir, est que l’ennui vient très rapidement. Le temps passe, les années s’écoulent, mais cette insouciance primitive, presque enfantine, ne dépérit pas. Kyl’rian a vu le jour pour la première fois dans une tribu des Xōtli, résidente de la jungle ixtalienne. Un bout de famille, non loin du village Killash, qu’il aime profondément. Un peu turbulant, désireux de reconnaissance et d’être vu, vivre éternellement caché ne lui convenait pas et une telle vision de son avenir déplaisait beaucoup à son chef. Celui-ci craignait pour son modeste hameau. Peur que l’orgueil du jeune vastaya ne mette en péril les siens et que celui-ci conduise les humains chez eux, il a cherché à lui occuper l’esprit. À tenter de combler cet ennui grandissant, jusqu’à devenir égoïste et désireux de combler un manque d’attention.
Après tout, il n’était ni promis à prendre la relève et diriger le clan. Il n’était pas non plus une figure marquante de celui-ci, si ce n’est pour ses maladresses et ses farces. Il n’était personne, au bout du compte et cela lui pesait énormément. D’être invisible. Constamment. Sans avoir à recourir à la magie pour être camouflé du reste de la population.

Kyl’rian aimait bricoler et était doué de ses dix doigts. Il a su se rendre utile en améliorant la qualité de vie de sa tribu et en apportant une touche de modernité pour réduire les corvées, notamment en ce qui concerne l’irrigation des cultures et la gestion de l’eau courante. Ça n’a rien d’aussi claquant que dans une cité grandiose, mais cela permet un gain d’énergie pour les siens. Une énergie investie ailleurs. Dans la construction de nouveaux toits notamment, pour accueillir d’autres Vastaya qui souhaiteraient venir se réfugier. Cependant cette place ne lui suffisait pas. Il ne réalisait pas qu’être utile, il était. Ou plutôt, il en voulait plus. Toujours plus. Son regard se posait tous les soirs sur les arbres de la jungle, cette protection naturelle contre les envahisseurs et les étrangers, désireux de voir ce qu’il y avait au-delà. Ce qui l’en empêchait, c’était peut-être à contrario l’inconnu et le confort que peut offrir un nid, même lorsque le tour a été fait pour la énième fois.

Ce qui l’a aidé à couper le cordon, c’est une rencontre. Un soir, alors qu’il avait été chargé d’aller ramasser du bois, il s’est aventuré trop loin dans la jungle et a fait la connaissance d’un humain. On lui avait décrit ceux-ci comme monstrueux, sans pitié, envieux. Celui-ci ne correspondait à rien de tout ça. Il était même plutôt beau à regarder, même s’il manquait de poils ou d’écailles à son goût. Kyl’rian a utilisé sa magie pour se camoufler dans son environnement et a grimpé à un arbre pour prendre de la hauteur, afin de suivre ses mouvements. Il avait l’avantage du terrain, s’était-il dit. Jusqu’à qu’une branche craque sous son poids et qu’il tombe derrière ledit humain avec fracas. Des jurons fusèrent de toute part et pris dans sa colère, il n’avait pas réagi immédiatement. En effet, ce “contretemps”, cet imprévu, avait rompu les effets dissimulateurs de sa magie et il était visible. Bien visible même, car l’humain le fixait du regard.

Il semblait pataud. Il moulinait ses bras et tenter quelque chose. Seul un petit jet d’eau vint doucher Kyl’rian, ce qui permit au vastaya de remettre les pieds sur terre et son attention, sur l’objet de sa curiosité.

À quoi jouait-il ? Sans détour, il lui fit remarquer qu’il était ridicule et il pensait d’abord que la panique le faisait danser. Ce qui ne manqua pas d’offenser l’humain. Celui-ci se braqua, commença à tendre son poing sur lui, mais sa colère ne lui faisait pas peur. De fil en aiguille, et surtout après une franche rigolade face à la situation, les deux inconnus avaient fini par devenir des amis.
L’humain expliqua au vastaya qu’il venait de Piltover et qu’il était ici pour trouver des objets précieux. Des artefacts magiques. Il lui parla de sa ville, de ce qu’elle était et il semblait beaucoup l’aimer, car à l’entendre parler, Kyl’rian avait des étoiles dans les yeux. Une ville d’inventeur, avec beaucoup de machine et d’ingénieur. Une ville pleine de progrès. Ça le faisait rêver. Il voulait y aller et l’humain lui proposa qu’à leur prochaine rencontre, qu’il vienne avec lui à Piltover pour la découvrir de ses propres yeux. Nul besoin de tergiverser ; Kyl’rian avait mordu à l’hameçon et il avait accepté.

Par politesse et par respect pour son chef, Kyl’rian était allé l’informer. Le prévenir qu’il comptait partir avec un humain. C’est ce dernier point qui n'avait pas plus à son chef et dans un excès de colère, sa voix tonitruante déclara que le vastaya était banni du village. Que s’il aimait tant les humains, qu’il aille vivre avec eux et qu’il leur fiche la paix avec ses histoires. Les propos étaient tellement virulents et si soudains que des larmes commencèrent à monter aux yeux du reptile. Il ne s’attendait pas à ce que la nouvelle soit bien prise, mais il espérait néanmoins pouvoir discuter, s’expliquer et promettre de revenir. Cela dit, trop fier ou trop blessé, il avait tourné le dos à son ancien chef et a quitté le village sans un mot, restant ainsi sur un départ froid.

Peut-être était-il encore trop secoué par cette ultime remontrance ? Ce bannissement sans autre forme de procès que le ras-le-bol ? Sans doute, car son nouvel “ami”, bien qu’il l’ait emmené comme promis jusqu’à Piltover, lui avait tendu un piège pour le capturer. Une porte avait été franchie et une cage l’avait accueilli. Celle-ci s’était refermée soudainement, le laissant dans l’incompréhension la plus totale. Ses deux yeux dévisagèrent chacun des humains présents autour de sa geôle, dont le sien, effaré. Ce sans-poil et sans-queue qui tendait la main pendant ce temps vers un autre, pour accueillir en son creux une bourse pleine de pièce. Il lui avait pourtant dit ; il cherchait des objets précieux et magiques. Kyl’rian n’était rien d’autre qu’un objet à ses yeux. Quelques choses de précieux. De bon marché, pour lui permettre de payer ses études et son entrée à l'académie.

Cela fait trop en si peu de temps. La déception était une émotion nouvelle et quelque part, une découverte comme une autre. Il était resté immobile dans sa cage, réfléchissant en silence à un moyen de s’échapper. Cette prison ne barrait pas sa magie. Une imprudence qu’il avait utilisé à son avantage. Un matin, la cage était apparue vide, alors que les hommes s’apprêtaient à embarquer leur achat sur le bateau, qui les ramenait à Noxus. L’un d’entre eux avait pesté et dans un élan de bêtise, il avait ouvert la porte de celle-ci pour l’inspecter. À peine y passa-t-il sa main que les crocs de Kyl’rian s’était refermé brutalement sur celle-ci et dans la foulée, il était réapparu.
Il profita que son gardien soit surpris par sa blessure et en léger état de choc pour se couler en dehors de sa cage. Il avait utilisé son agilité et sa maîtrise de la lumière pour les hébéter, les perdre, ou distraire leur faculté visuelle. L’un d’entre eux portait un yo-yo à sa poche et l’idée de se servir de fil pour leur couper le souffle s’est faite. Il lui a volé, l'a gardé et continue encore aujourd'hui à s'en servir. Comme un souvenir, c’est devenu ensuite une habitude.

Finalement il avait réussi à s’en tirer sans trop de dommage et à s’enfuir. Son premier reflex avait été d’aller à Ixtal, mais il ne pouvait plus rentrer chez lui. Aussi injuste était-ce, il continuait d’obéir à son chef. Cette mésaventure ne lui a néanmoins pas dégouté des humains. Plutôt de la confiance à autrui.

Kyl’rian ait bel et bien retourné à Ixtal, mais il a cherché refuge à la capitale. Il a marchandé son droit d’être avec eux, jouant la carte du pitoyable et de l’inventeur pour séduire autant que faire se peut et obtenir une place. Ou plutôt, un port d’attache puisque Kil’ryan est retourné ensuite à Zaun, par lequel il passe souvent pour rejoindre Piltover, afin d’y trouver de l’inspiration. Il allait jusqu’à voler dans les chambres des pièces qui ne sont pas trouvables dans sa jungle natale et lorsqu’il tombait sur un artefact ixtalien, il le récupérait instinctivement pour le ramener à sa juste place. Un brin égoïste avec le savoir laissé par les sages de la région. Ou un acte de loyauté envers Ixtal, qui sait ?

En revanche ces aventures en solitaire à répétition ont rendu le vastaya antipathique, insouciant et cynique. Se cacher à ses avantages. On peut y découvrir les secrets, les complots et parfois même, être témoins de bien des choses. Peut-être que son apathie est dû à toutes ces choses qu’il a pu voir. Toutes ces scènes, observées en secret, qui lui ont donné de très bonnes raisons de ne faire confiance à personne, pas même aux siens.

???? la patrie est là où se trouve le coeur
Jusqu’à maintenant, Kyl’rian ne s’est pas réellement engagé à prendre parti. Il est plutôt indépendant et tient particulièrement à cela. C’est même un électron libre, puisqu’il tient à pouvoir bouger et à s’échapper de temps-en-temps de cette civilisation multimillénaire en explorant d’autres. Néanmoins on remarque en finalité que toutes ses décisions défendent Ixtal. Plus particulièrement la cité arcologique d’Ixaocan, car il s’est engagé à protéger le Vidalion, pour qu’aucun étranger ne mette la main sur le précieux artefact qui y est entreposé.

???? la magie
La magie pour lui est comme l’eau pour les humains. Cela fait des années, voir des décennies, qu’il la manipule, qu’il vit avec celle-ci et grâce à celle-ci. Il n’a donc pas réellement d’appréhension sur elle, puisqu’il est sans doute celui qui peut prétendre ressentir ses fluctuations, ses mouvements, ses changements mieux que quiconque. Il l’aime et est avare sur celle-ci. S’installer loin de celle-ci, loin de la magie ou dans une nation qui ne la considère pas comme elle devrait être, à savoir essentielle, ne lui traverserait pas l’esprit. Si l’idée lui est glissée, il vous traiterait de fou ou de meurtrier et s’énerverait peut-être. C’est d’ailleurs la rare fois où vous pourrez le voir en colère, si vous insistez à le séparer d’elle et de sa raison de vivre.
La magie est peut-être le seul véritable grand amour qu’il a eu tout au long de sa longue vie et ce n’est probablement pas le seul Vastaya dont le comparatif est valable. Il n’a jamais autant donné d’énergie, d’inventivité, de temps pour un autre être vivant. Il ne s’est jamais intéressé à quelqu’un autant qu’en la magie et il ne s’est jamais senti aussi proche d’un autre qu’avec elle.

Kyl’rian pourrait être traité de fou, mais ce sont les humains qui ne comprennent pas. Pour eux, la magie est une arme. Pas une force qu’il faut protéger, chérir et soigner. Une source sur laquelle il faut veiller. Il ne peut pas être rancunier. Leur apprendre à doser, à dompter, à respecter lui apporte beaucoup de satisfaction, car dans ces moments-ci, il se sent supérieur aux humains. Il se sent traiter avec respect, comme un individu doté d’intelligence et à qui on vient pour recevoir son savoir. Non pas comme un simple animal ou une bête de foire dans le pire des cas.

???? la brume noire
Étrangement, il n’en a pas peur. Ou plutôt ; il ne s’en méfie pas. Kyl’rian en a entendu des échos, comme tout le monde, mais sa curiosité passera toujours avant sa propre vie et celle-ci l’intéresse. Il veut l’étudier, connaître ses propriétés magiques, connaître son essence, savoir d’où elle vient, qu’elle est son origine. Une sorte de fascination morbide en somme, puisqu’il ne s’arrête pas à la mort et à désolation qu’elle sème derrière elle. Il veut surtout savoir jusqu’où elle est capable d’aller et qu’est-ce qu’on peut en faire une fois qu’elle est maîtrisée. Cet intérêt et sa convoitise pourraient très certainement lui jouer de vilain tour à l’avenir, s’il continue sur cette voie.

???? relations
Ses relations sont compliquées. Ce n’est pas tant qu’il peine à s’en faire. C’est plutôt qu’il a des difficultés à ce que celles-ci restent cordiales sur la durée. Il va passer ses propres intérêts avant l’amitié, ce qui le rend plutôt solitaire de manière involontaire. Il a également beaucoup de mal à faire confiance aux autres, car il estime que s’il est capable d’escroquer ; d’autres peuvent lui faire la même. D’où une certaine méfiance, derrière ses airs espiègles et désintéressés de tout préjuger.
Ce n’est pas non plus facile de le charmer ou de le mettre dans sa poche. Il pense avant tout à rendre les humains d’Ixtal heureux, toujours à la pointe de la maîtrise magique et il n’y a pas grand-chose qui l’intéresse. Si ce n’est se couvrir de gloire grâce à ses trouvailles et ce, même si c’est un “animal”.

La faculté de Kyl’rian à se rendre invisible serait grâce à sa maîtrise de la Luminomancie. Plus particulièrement du spectre lumineux, qui permet à l’œil de percevoir les formes et les couleurs. Il parvient à dévier la lumière de son propre corps et ainsi, créer l’illusion parfaite pour se camoufler ou se fondre dans le décor. Il est également capable de changer les couleurs de ses pigments et ainsi, se déguiser à volonté pour créer la confusion, se mêler à une foule ou bien changer de visage.
Si sa principale maîtrise est de repousser la lumière ou la modeler pour lui faire prendre un spectre qui lui convient, Kyl’rian est également capable de concentrer celle-ci entre ses mains, en attirant toutes les particules de lumière présentes entre celles-ci, forçant ainsi l’obscurité à se répandre. Un spectacle éblouissant, aveuglant et dangereux qui se profile alors, au moment où il arrive à saturation et qu’il relâche le tout.  

Sa magie étant la chose qu’il maîtrise le mieux, il agrémente parfois ses graffitis colorés de celle-ci, ce qui les rend visible qu’avec un certain spectre de lumière. Cela rend des peintures très flashy dans l’obscurité la plus totale.

Quand il s’agit de se battre, il utilise une arme plutôt non-conventionnelle. Un Yo-yo imbibé de magie pour renforcer son fil assez inoffensif aux premiers abords, mais dont il se sert comme d’un fouet, voire parfois comme d’un lien pour étrangler ses cibles. Il n’a cependant jamais tué. Il se contente de les estourbir assez pour pouvoir filer. De toute façon, il n’a pas de place dans son sac pour une arme “sérieuse”, alors il improvise. Il préfère emporter des belles pièces utiles avec lui, ou revendables à bon prix, plutôt que des lames trop lourdes et qu’il ne sait pas manier.

Alalala un plaisir de voir un tel personnage venir semer la zizanie ahah Et te voila officiellement validé.e sur le forum ! On espère que tu te plairas parmi nous ! Avant de commencer la grande aventure RP, voici quelques petites choses à faire. Tout d'abord merci d'aller te recenser dans le bottin des avatars puis dans le bottin des metiers & regions, ainsi que dans celui des magies. Si tu ne le fais pas, tu prends le risque que ton avatar et ton métier ne soient pas recensés et te soient volés !

De plus nous t'encourageons à aller poster une fiche de liens et rps pour étoffer tes relations si tu le désires (cette étape est bien entendu facultative).

Pour un peu plus d'immersion dans le monde de Runeterra je t'invite à aller lire le sujet des poros d'or, la boutique et les missions (et ou rp aléatoires).

Nous te rappelons si ce n'est pas déja fait que tu peux rejoindre le DISCORD à cette adresse.