Open your eyes ♐︎ Krótos

descriptions
On dit de tes flèches qu'elles ne ratent jamais leur cible, et si ce n'est pas totalement vrai, tu n'es qu'un mortel aussi faillible qu'un autre, c'est une légende que tu aimes entendre et perpétuer, elle te flatte et on ne peut nier que tu aimes ça. Il y a d'autres bruits qui courent sur toi, tu aurais parait-il la rapidité et l'endurance d'un cheval, l'agilité d'une chèvre, même si pour le coup tu préfères que l'on parle d'un chamois, plus adapté à la montagne et plus valorisant de ton point de vue. Des légendes, nées d'un fond de vérité. Tu es un chasseur qui fait parler de lui, tu es né pour cela probablement et tu rentres rarement les mains vides lorsque tu t'aventures dans les sentiers reculés du Mont Targon en quête d'une proie à ramener.

Jamais le dernier à rire, tu aimes profiter de ta vie, pleinement, et si tu ne caches pas vraiment tes rêves de grandeur tu apprécie aussi la simplicité des soirées entre amis, le bonheur de parcourir tes montagnes au coucher du soleil ou à l'aurore dans cet entre deux entre le jour et la nuit. Métaphore de ton peuple que tu aimerais voir un jour de tes yeux, dualité que tu voudrais effacer pour que vous puissiez tous vivre ensemble, en paix, que tu puisses parler à la lune sans avoir besoin de te cacher.

De taille relativement grande tu es longiligne et musclé, taillé pour l'escalade des rochers, ton bras droit travaillé par de longueurs heures à bander cet arc duquel tu ne te sépares jamais. Tes yeux perçants d'un vert lacustre traquent d'aussi longtemps que tu te souviennes les pentes abruptes, à l'affût du moindre mouvement trahissant la présence de ce gibier que tu chasses. Ou du moins... c'était le cas avant un certain évènement sur lequel nous reviendrons plus tard. Suite à cela, tu vis et te déplace principalement la nuit et lorsque tu dois affronter la lumière diurne tu portes un épais bandeau noir pour protéger tes pupilles.

De cet évènement d'autres particularités sont apparus, tes cheveux, autrefois bruns ont perdus l'entièreté de leur pigmentation et sont désormais d'un blanc brillant qui peux te faire paraître davantage que tes 26 ans. Ton corps a également vu apparaître des cicatrices étranges, des blessures qui ne se sont jamais refermées et qui semblent tracer sur ta peau des motifs complexes à la signification que tu ignores, ou que tu préfères ignorer.


naissance d'une légende
L'hiver frappait à la porte du Mont au sommet invisible et inatteignable lorsque tes poumons s'emplirent pour la première fois d'un air glacé. Deuxième né de la famille, c'est emmailloté dans de lourdes étoffes que la nuit venu ton père t'éleva dans ses bras pour te présenter à la lune qui te baigna d'une douce lueur alors qu'un nom t'étais donné. Krótos. Grand, beau, prometteur. Tout ce que tu devins en grandissant, ajoutons à cela que tu en étais bien conscient.

Turbulent, tu n'en savais pas moins te tenir correctement pour protéger l'unique chose qui comptait vraiment, ce secret que tu devais à tout prix garder, celui de votre religion, de cette déférence à la lune qui vous aurais valu milles tourments et peut-être même davantage si cela devait être découvert. Adorateur de la lune, tu n'en appris pas moins à vénérer le soleil, et si tes dévotions manquaient de profondeur tu n'étais pas non plus le seul gamin à avoir du mal à tenir en place et à ne pas sembler particulièrement marqué par la grandeur de la Lumière.

Ton énergie débordante trouva finalement une canalisation le jour où l'on te mit un arc entre les mains. Les entraînements avec les autres jeunes Rakkorans dans le but de faire de vous de forts et valeureux guerriers, capables de protéger les terres sacrées entourant le Mont Targon sur lesquels vous vivez au rythme des saisons, n'avaient pas tardés à montrer que tu étais loin d'être le plus à l'aise avec une épée. Ton corps savait se mouvoir pourtant, souplement, et un Rakkor eu finalement la bonne idée de te trouver une arme plus adaptée. Ce jour fut pour toi une révélation et de gamin turbulent et pas doué tu devins rapidement prodige. Ta voie désormais tracée, tu devins au fil des années un chasseur renommé dont les légendes, largement exagérées, allaient bon train au sein des tiens.

Tu avais vingt-deux ans et l'opportunité d'écrire une nouvelle ligne à ton histoire se présenta, lorsqu'un valeureux et pieux guerrier se mit en quête de compagnons pour partir à l'ascension du Mont Targon. Ambitieux, tu n'étais pas fou pour autant, et tu avais déjà une certaine expérience de ton côté. Atteindre le sommet n'était pas fait pour toi, tes ambitions n'étaient pas de ce genre là. Mais votre tâche n'était pas celle là, seulement d'accompagner, sur les routes traitres et escarpées, avant de vous retirer pour le laisser seul récupérer tous les lauriers. Tous ? Non, tu comptais bien faire connaître ton nom et tu ne doutais pas d'impressionner quelqu'uns ou quelqu'unes à ton retour par le récit de ce voyage hors du commun.

Vous étiez huit lors de la cérémonie d'adieu, sept en retrait, et quand bien même les prêtres étaient Solaris, tu fut bien obligé d'admettre qu'il y avait là quelque chose qui dépassait l'épreuve sportive, quelque chose qui vous dépassait tous, et un instant peut-être tu te demandas si tu avais raison d'être là. Et puis l'ascension commença.

Difficile était un faible mot pour décrire votre ascension, les jours s'enchaînaient sans que vous ne sembliez avancer, le froid était mordant, le vent glacial, transportant jusqu'à vous des murmures auxquels vous deviez ne pas prêter attention. Deux membres du groupe finirent par perdre espoir, argumentant que si le Mont avait voulu que vous arriviez au sommet vous ne seriez pas encore en train de tourner. Les pieuses paroles ne suffirent pas à les retenir et ils firent demi-tour, s'enfonçant dans la burle alors que vous continuiez à six.

Quelques jours plus tard Caelòn disparu brusquement sous vos yeux alors qu'il ouvrait la marche, la neige recouvrant une crevasse venait de céder sous son poids et si son cri angoissé raisonna longtemps à vos oreilles, il n'y avait rien que vous auriez pu faire pour le ramener à vous. Vos regards se croisèrent, la peur se mêlant à la tristesse, mais une nouvelle fois vous repartirent, convaincu pour quatre d'entre vous que vous pouviez encore vous révéler utiles et pour le cinquième que cette épreuve n'en était qu'une de plus sur la route qui devait le juger digne d'atteindre le sommet.

Plusieurs fois le doute t'avais assaillit, et tu te souviens d'une discussion avec celui que vous accompagniez, alors que vous trembliez de froid, peinant à vous réchauffer. Tu lui avais demandé s'il ne pensait pas avoir choisi la manière facile en vous demandant de l'accompagner, s'il ne pensait pas que la difficulté étant d'autant plus grande qu'il n'avait pas entreprit seul l'ascension. Tu ne te souviens plus exactement de ses mots, mais tu te souviens qu'il était convaincu, et convaincant, de toute façon ton cerveau était trop congelé pour vraiment continuer à discuter.

Mais le pire était à venir, la folie devait s'emparer de l'un d'entre vous et brusquement l'un des votre se figea au milieu du chemin, murmurant le nom de sa mère avant de s'élancer en courant droit devant lui. Hal', juste derrière lui fut prompt à réagir et le plaqua violemment au sol dans un geste qui s'il en fut sans doute douloureux lui sauva la vie. Provisoirement tout au moins, car votre compagnon n'était plus parmi vous. Se débattant avec force il voulait rejoindre sa mère, qui l'attendait un peu plus loin, sa mère, morte depuis de nombreuses années que tu avais bien connu pour être elle et son fils des Lunaris.

Vous l'aviez alors attaché, vous l'aviez fait prisonnier du rocher et aviez tenté par tous les moyens de le ramener à la raison. Les heures avaient passé et une larme gelée roula sur ta joue alors que tu posais les yeux sur ses bras. Ses vêtements étaient déchirés, sa peau ouverte tellement il tirait, tu tendis une main pour lui prendre la sienne, elle était froide, raide, son visage te semblait violacé. Il n'était plus là et d'un commun accord tu tranchas ses liens, le laissant se précipiter en direction de ce pont que lui seul était capable de voir et sans un bruit, sans un cri, vous le virent tomber dans l'abîme. Il était venu aussi pour t'accompagner toi, ami d'enfance, ami de l'ombre, et le Mont venait de l'emporter.

Reprendre la marche ne fut pas chose aisée et à peine quelques kilomètres plus loin une pause fut décidée, vous en aviez besoin tous autant que vous étiez et tu pris un tour de garde pendant que les autres s'endormaient. Une voix t'appela soudain, douce mais intransigeante, te commandant de te lever, d'aller te mettre à l'abris. Ce que tu fis.

Quand tu revins à toi, tu étais dans une grotte, seul, et la voix te revint en mémoire comme un songe. Paniqué tu sortis, rampant dans la neige fraîchement tombé, dévalant la pente, ou tout au moins rebroussant le chemin que tu pensais avoir emprunté pendant la nuit. Il ne te fallut pas longtemps pour retrouver tes compagnons et un long cri de détresse franchi tes lèvres, se répercutant en écho sur les flancs du Mont Targon alors que devant toi leurs corps, déchiquetés par tu ne savais quel animal, gisaient là.

Tu ne sais pas combien de temps tu restas là, à pleurer ta douleur et ta colère, injuriant les cieux, maudissant le soleil et la lune, maudissant ce foutu Mont, te maudissant aussi de ta propre bêtise. Tu ne sais pas combien de temps tu restas là, dans le froid, mais tout à coup tu te redressas, levant ton regard embué de larme vers le sommet tu mis au défi les êtres Céleste et tu t'élanças, laissant derrière toi tout ce qu'il vous restait d'armes et de vivres. Ne portant que ton arc en bandoulière tu atteindrais ce foutu sommet ou toi aussi tu mourais.

Et c'est au bout d'un temps qui te paru infiniment court que le sommet se dévoila finalement à toi. Plateau désertique, balayé par un vent glacial, tu hurlas ta haine à l'encontre des entités céleste et tu bandas ton arc, encochant une flèche, visant ce ciel lugubre et gris. Une lumière aveuglante se fit alors, ta main lâcha ta flèche qui alla probablement se perdre en contrebas et tu tombas à genoux, protégeant tes yeux de ton bras.

« Tu n'es pas prêt. »
Il y avait de la déception dans ces mots, le regret d'un trop grand espoir placé sur des épaules trop faibles encore pour pouvoir le supporter. Tu ne le remarqua pas. Incapable de bouger, incapable de parler, tu étais assailli par un poids immense, tu te sentis brusquement minuscule et si la colère continuait à gronder en toi elle était muselée par cette puissance phénoménale qui te dépassait.

« Un jour tu comprendras, un jour tu reviendras. »
Ce n'était pas une demande, c'était un ordre et tu sentis tout le poids de la fatalité t'aplatir encore davantage. Tu n'étais rien, en cet instant tu en étais douloureusement conscient. Tu n'étais rien et pourtant un jour tu devrais être tellement ?

« D'ici là tu ne m'oublieras pas, tu verras. »
Un nouveau flash, plus violent encore, plus brutal que le premier. Une lumière aveuglante que ni tes paupières fermées, ni ton bras ne pouvait atténuer. Tu hurlas alors que tu avais l'impression que tes yeux brûlaient, tu crias encore alors qu'autour de toi la neige se mettait à tourbillonner, ou du moins tu le supposais alors que ton corps se faisait lacérer. Et puis tout fut noir brusquement et tu perdis connaissance.

Lorsque tu revins à toi tu étais bas dans la montagne, à la limite de la zone normalement accessible par les chasseurs ou les bergers les plus aguerris. L'air était respirable ici, quand bien même tes poumons te brûlaient. Brûlure qui n'était rien en comparaison de celle que tu ressentis lorsque tu tentas d'ouvrir les yeux. L'impression d'un milliers d'aiguilles se fichant dans ta rétine t'obligea à les maintenir fermer. Ce n'est qu'une fois la nuit venue que tu fis une nouvelle tentative, constatant alors que malgré la douleur persistante tu y voyais comme en plein jour.

Il te fallut plusieurs jours encore pour rejoindre les tiens, ne te déplaçant que lorsque l'astre lunaire éclairait ta route, évitant de te faire remarquer. Ton corps était meurtri, douloureusement meurtri, tes membres et ton visages tâchés de sans séché et lorsqu'enfin tu revins au campement Lunaris tu t'effondra dans un coma de plusieurs jours sans avoir été capable de dire le moindre mot.

Tu n'en dis pas davantage lorsque tu revins à toi, tu avais été soigné mais certaines blessures semblaient impossible à refermer, et à mesure que tu guérissait il devint flagrant que des motifs complexes avaient été tracés sur ton corps. Motifs que tu ne savais ni ne voulais justifier, incapable de raconter à quiconque ce qu'il s'était passé tu n'avouas jamais avoir atteint le sommet. Pour autant, les changements physiques parlaient d'eux-mêmes, tu n'étais plus le même et certains jugèrent bon de d'implorer l'Aspect de la Lune de venir à tes côtés, à moins qu'elle ne l'ait décidé d'elle-même.

C'était il y a environ trois ans de ça et tu ne restas pas à Targon après cela. Il y avait trop de choses en toi, trop d'incertitudes, trop de remises en question. Trop de risques aussi, tu étais une cible pour les Solaris qui ne goûteraient sans doute guère à la plaisanterie si tu devais leur conter ce qui s'était produit. La voix n'avait pas menti, tu ne l'oubliais pas, chaque fois que tes yeux te brûlaient tu ne pouvais manquer de te rappeler, chaque fois que tu voyais tes cheveux bruns devenus blanc, chaque fois que tu repoussais les étoffes protégeant les marques qui zébraient ton corps. Tu avais beau avoir quitté Targon la voix te poursuivait, elle le ferait probablement à jamais, ou jusqu'à ce que tu comprennes et retournes là-bas, c'est ce qu'elle avait dit ce jour-là.


la patrie est là où se trouve le cœur
Tu as toujours été un Lunaris, tes parents t'ont appris à vénérer la lune et si tu n'es, et de loin, pas le plus porté sur la religion des tiens, tu te tournes malgré tout régulièrement vers la lune, pour la remercier, chercher ses conseils, ou simplement lui parler, l'admirer. Tu as bien entendu suivis la même éducation que tous les jeunes Rakkors, apprenant à vénérer le soleil, mais tu as toujours senti au fond de toi l'appel de la nuit, veillant pendant des heures pour voir la lune se lever et briller, pour suivre sa lente course dans la nuit étoilée. C'est la nuit que chaque jour meurt pour donner naissance au suivant, elle qui est actrice et témoin de tout ce qui te semble important, et s'il est dangereux de chasser lorsque le ciel est noir, le crépuscule et l'aurore sont les moments de la journée durant lesquels tu te sens le plus en harmonie avec le monde qui t'entoure.

Tu es un Lunaris donc, mais depuis ton ascension du Mont Targon et ce qu'il s'est passé à son sommet tu boues d'une colère difficile à apaiser. Tu te sens trahie, blessé, mentalement bien davantage que physiquement et tu ne parviens pas, ou refuses de le faire, à comprendre ce que l'on attend de toi. Tu regrettes l'époque où tu n'étais qu'un chasseur, où tu pouvais te vanter de tes prouesses, où tu pouvais rêver de grandeur sans avoir à en subir les contraintes. Désormais tu ne sais plus vraiment qui croire, quoi croire, même si au fond de toi, le jour où il le faudra, tu trouveras probablement les ressources nécessaires pour défendre ce en quoi tu crois.


la magie
Tu n'as pas de pouvoirs, tu aurais aimé parfois que ce soit le cas, d'une manière purement ambitieuse et sans doute égoïste ça aurait pu te servir, tu imagines. Ce n'est pas le cas néanmoins et tu n'as jamais été particulièrement aigri de ce point, ou envieux plus que de raisons, tu as d'autres facultés que tu as à merveille exploité. Elevé dans le respect des traditions Rakkors, bercé par les histoires de ces êtres mystiques que l'on nomme Aspects, tu leurs voue une crainte respectueuse, ou tout au moins c'était le cas jusqu'à ce que tu les insulte et en paye le prix. Désormais tes sentiments à leur égards sont confus et la colère qui gronde en toi pourrait aussi bien se déverser par moment sur des êtres doués de magie moins puissants, dans une vaine tentative d'évacuer la frustrante incompréhension que ce jour là à créé en toi.


la brume noire
Elle n'est pas ton principal soucis actuellement, tu as beaucoup à faire sans t'occuper du moindre brouillard. C'est du moins ce que tu en as pensé au début, depuis les rumeurs ont commencé à circuler et quand bien même tu n'en voulais rien savoir tu as fini par entendre parler de la chute de Démacia et des nouvelles attaques, un peu partout sur le continent. Au fond de toi tu as senti quelque chose, pas vraiment insensible au sort de ce monde, au sort de ton peuple à Targon, et peut-être que cette fibre un peu héroïque, cette flamme étouffée par l'ascension, a reçu un souffle permettant de légèrement la raviver. Mais tu as préféré en rire, raillant avec un rien d'amertume que depuis le temps que les Solaris musellent leurs confrères de la nuit, ce n'est pas demain la veille qu'un peu de brume viendra éteindre la puissance de leur cher soleil.


relations
Les Lunaris, ils sont ton peuple et si tu es partis dans un autre pays, fuyant les Solaris mais aussi finalement ce qui avait jusqu'alors été ta vie, tu gardes au fond de toi un profond attachement envers ceux qui t'ont depuis toujours connu et supporté.
Les Solaris, tu as grandis parmi eux, tu as été éduqué selon leurs préceptes, vivant en secret ta dévotion à la lune. Tu ne les hais pas, tu aimerais que vous puissiez vous comprendre, c'est peut-être plus facile pour toi qui ne pratique pas la religion avec une grande ferveur. Bon, il faut admettre cela dit que certains sont vraiment fanatiques, et fort de tes nouvelles caractéristiques physiques il n'y a guère de doutes au fait que ta tête soit mise à prix.

Tu n'as pas de pouvoirs à proprement parlé, quand bien même tu as été marqué par les êtres Céleste lors de ton ascension du Mont Targon. Une lumière aveuglante a brûlé tes yeux et lacéré ton corps de blessures qui ne se sont refermés que pour tracer sur ta peau des motifs complexes que tu caches et dont la signification t'échappes à ce jour. De la brûlure de tes yeux, résulte une incapacité à faire face à la lumière diurne, sans protection le soleil te brûle la rétine, en revanche, lorsque l'astre lunaire débute sa course dans le ciel tu peux enfin ouvrir tes paupières et te déplacer dans la nuit comme les autres le font en journée, captant la moindre parcelle lumineuse pour éclairer ton chemin.
Quant à ton arme, elle n'a rien de magique non plus et n'a elle pas été perturbée par l'ascension du Mont Targon. Ton arc, dont tu ne te sépares jamais, est tout ce qu'il y a de plus naturel, fabriqué selon les techniques Rakkors, et s'il est dit que tes flèches ne ratent jamais leur cible, il ne s'agit que de rumeurs que tu ne manques pas d'entretenir pour flatter ton égo de chausser hors-pair.  

Excuse nous pour le retard ! Et te voila officiellement validé.e sur le forum ! On espère que tu te plairas parmi nous ! Avant de commencer la grande aventure RP, voici quelques petites choses à faire. Tout d'abord merci d'aller te recenser dans le bottin des avatars puis dans le bottin des metiers & regions, ainsi que dans celui des magies. Si tu ne le fais pas, tu prends le risque que ton avatar et ton métier ne soient pas recensés et te soient volés !

De plus nous t'encourageons à aller poster une fiche de liens et rps pour étoffer tes relations si tu le désires (cette étape est bien entendu facultative).

Pour un peu plus d'immersion dans le monde de Runeterra je t'invite à aller lire le sujet des poros d'or, la boutique et les missions (et ou rp aléatoires).

Nous te rappelons si ce n'est pas déja fait que tu peux rejoindre le DISCORD à cette adresse.