| Rietta Miller DEMACIA Messages : 72
Poros d'or : 1093
Date d'inscription : 13/11/2021
| Kælinn Tel'Asräth surnom: Kael - la lame viciée • Nation : Noxus • Métier : Soldat - Assassin • age : 28 ans • allégeance : Indéfinie • race : Née magique violente - impulsive - inadaptée - perdue - sanguinaire - protectrice - bornée - naïve - franche - froide - sournoise - ombre parmis les ombres - prisonnière - terrifiée - en quête de stabilité QUI ES TU ?
descriptions svelte, athlétique, élancée, tu attires l'œil et tu le sais, tu sais en jouer aussi, on te l'a appris en même temps qu'on t'apprenait à manier des armes, à savoir où frapper pour en un instant tuer - à la fois facile d'abord et difficile d'accès, tu ne refuses jamais un verre offert, tu aimes la compagnie, sociable et sociabilisée. il sont pourtant peu à vraiment te connaître, à savoir qui tu es, les lames rouges Xamari sont tes frères et même eux ne connaissent pas tout de ce que ton esprit renferme, bien peu même - des cicatrices, sur tes avants-bras que tu gardes généralement masqués, pour éviter les questions plus que pour réellement te cacher. les traces de ton pouvoir, maints et maints fois utilisé, un témoin de ce que tu es qui te réveille parfois la nuit, te forçant à te mordre les lèvres alors qu'une douleur aussi fugace que brutale irradie - une guerrière, assassin, de bonne lignée. tu fais peur mais tes talents t'ont rendu ta place dans la société. dans ta famille tu es à la fois crainte et respectée, une dualité qui te plait, tu ne les fréquente que pour les apparences et te sens étrangère à leurs centres d'intérêts. naissance d'une légende T'es née à Shurima mais ton sang est Noxien, c'est ce que l'on t'a appris et répété, et si tes parents t'ont mis au monde loin de leur terre de cœur c'est uniquement en raison de leur statut social. Ambassadeurs de Noxus à Tereshni, ta famille est liée aux Ta'kif, gouverneurs de la cité portuaire. Depuis l'ambassade, ce beau monde veille à garder un œil sur la population locale, réprimant toute tentative de soulèvement, tout écart aux lois de l'Empire, ou plutôt ils ordonnent que la loi soit respectée, sans trop eux-mêmes s'aventurer dans les ruelles de la cité portuaire. Au grand dam de tes parents, tu te révélas rapidement du genre turbulente et te garder cloisonner devint très vite une chose impossible à réaliser. Mais tu n'étais pas la seule jeune Noxienne dans la cité contrôlée par Noxus, et tes parents étaient suffisamment occupés pour que tu parviennes avec les années à jouir d'un maximum de libertés. Destinée à la diplomatie, ton enfance fut rythmée d'histoires sur Noxus, sa puissance, sa grandeur, tu étais élevée pour prendre la suite de tes parents, ou pour rentrer au pays, t'établir à un emploi prestigieux, haut placé. Rien de tout ça ne t'attirait. Rien ne te plaisait plus que de courir par les rues, privilège de ceux qui ont tout d'envier le mode de vie de ceux qui n'ont rien. Grandes idées de prôner la liberté d'agir et de penser quand on est sûr que rien ne peut nous arriver.
Tu t'intégrais pourtant, parmi les locaux, embrassant leurs idées, en grandissant tu commenças à réfléchir par toi-même, à te forger ton propre avis, à aller à l'encontre de tes parents. Tu savais, ou du moins le pensais-tu, tu comprenais la vie mieux qu'ils ne l'avait jamais fait. Tu te pensais plus maligne, tu te pensais différente, meilleure, tu critiquais la répression et passait de plus en plus de temps aux côtés de tes amis Shurimiens, rebelles, leur dévoilant des informations auxquelles toi seule avait accès. Mais si tu divulguais des secrets tu étais toi aussi surveillée et un soir c'est une petite armée de Noxus qui a débarquée. Trois soldats en vérité, peut-être auraient-ils du vous prendre plus au sérieux ? Ils attendirent que tu partes pour attaquer, pas assez, entendant des cris tu te retournas, tu y retournas, la colère au cœur tu te saisis de ta lame, bondissant dans la mêlée. Tu n'étais pas une grand guerrière mais tu étais souple, agile, et surtout tu croyais en ce que tu faisais, persuadée d'agir du mieux que tu le pouvais. Un coup te frappa au bras, ton sang coulant, colorant ta lame d'une teinte carmin. Ce n'était pas suffisant pour t'arrêter, ils allaient vous tuer, les tuer, toi tu te savais trop précieuse et peut-être est-ce ça qui te donnait des ailes, l'impression d'être immortelle. Ta lame carmin trouva sa cible, et brusquement tu sentis une énergie nouvelle t'envahir, tu te sentais légère, revigorée, ta blessure cicatrisait.
Il y eu des morts cette nuit là, des Shurimiens et deux Noxiens. Le troisième t'assomma alors que tu commençais à vaciller, ivre de cette énergie inconnue que tu avais emmagasinée. Tu fus enfermée, pour ton bien, pour te cacher, pour te sauver, le soldat survivant ne le fut pas longtemps et l'affaire fut étouffée. Mais toi, toi tu avais changé, tu avais vu ce pouvoir, découvert qui tu étais et si ta mère tenta de te parler, de ce pouvoir qu'elle aussi posséder, de ce pouvoir qui pouvait soigner, tu lui ris au nez. Soigner ? A quoi bon quand il pouvait tuer, te rendre forte, puissante, te permettre de défendre les causes en lesquelles tu croyais. Tu étais perdue, et tu fus renvoyer à Noxus, pour faire tes classes dans l'armée. En punition. Tes parents espéraient que peut-être la violence te ramènerait à la raison, que peut-être la souffrance te ferait prendre conscience de tout ce à quoi tu renonçais. Tu étais perdue, ivre de ce sang magique qui coulait en toi, tu en avais désormais besoin, les remords avaient du mal à t'atteindre, étancher ta soif était tout ce qui comptait. Et tu étais douée, enfin tu avais l'impression de t'épanouir, de faire ce pour quoi tu étais née. Tu oublias Shurima, peu à peu, les idées du Noxus s'insinuèrent en toi et c'est pour ton Empire que tu prenais les armes désormais, parce qu'il te permettait d'être celle qu'au fond tu étais.
Tu te réveillas pourtant, il y a environ un an de cela, des rencontres, des mots, et une prise de conscience brusquement, l'impression d'émerger enfin d'un tunnel d'une noirceur telle qu'il t'a fait perdre la vue. N'étais-tu que cela ? Qu'une machine à tuer, obéissant aveuglément aux ordres d'un Empire qu'à l'origine tu détestais ? Etais-tu devenu tout ce que tu avais un jour exécré ? La réponse était sans doute oui mais tu compris aussi qu'il n'y avait guère de retour en arrière possible, tes talents t'avaient promus au sein des forces spéciales des lames rouges Xamari et il tétait impossible de leur tourner le dos sur une simple prise de conscience. Tu n'étais pas certaine quoi qu'il en soit de vouloir faire cavalier seule, tu avais trouvé ta place dans cette armée, une reconnaissance, une famille presque ou en tout cas des semblables qui te comprenaient. Qui parfois t'effrayaient comme tu t'effrayais toi-même. Tout n'était pas noir non plus, c'était juste... tu ouvrais enfin les yeux sur une réalité qui n'était pas belle, qui était loin d'être parfaite, sur un monde qui était ce qu'il était et dans lequel il n'était pas évident de savoir qu'elle était la place que tu voulais occuper. Ce pouvoir en toi continuait de réclamer son dû, sa ration journalière, tu l'avais nourrit trop longtemps, trop abondamment pour pouvoir en un claquement de doigt t'en détourner. Tu ne le voulais pas au fond de toi. Mais tu changeas, en profondeur, commençant à réfléchir aux ordres que l'on te donnait, aux sens de tout ça, et si parfois il arrivait à des Noxiens de tomber après t'avoir énervé où avant une attaque que tu n'estimais pas légitime, il n'avait jamais été prouvé que c'était de ton fait. la patrie est la où se trouve le coeur membre des lames rours Xamari, tu combats pour Noxus - depuis ton retour forcé sur la terre d'où vient ton sang tu t'entraînes pour ton pays, ta patrie - pendant des années tu as été forgée pour oublier Shurima et les idées rebelles qui avaient germées là-bas - pendant des années ça a plutôt bien fonctionné mais voilà que tu t'es réveillée avec l'impression d'émerger d'un tunnel, d'un couloir sans rêves - voilà qu'à nouveau tu te poses des questions et si tu continues à servir Noxus tu n'obéis plus aveuglément et tu tentes de démêler tes pensées. les pouvoirs Tu l'as découvert de la manière la plus brutale qu'il soit mais tu as ce pouvoir en toi. Ta mère le savait, sans doute, elle aussi en est dotée, ou peut-être n'est-ce pas le même ? Elle s'en sert pour soigner, tu t'en sers pour tuer, ou plus exactement pour te soigner, en affaiblissant tes adversaires. Ce pouvoir, il te contrôle, il en demande sans cesse davantage et tu te dois de le nourrir, de l'entretenir. Ou peut-être n'est-ce qu'une excuse que tu te donnes pour justifier tes actes ? Tu le laisses faire quoi qu'il en soit, tu t'y abandonnes et tu n'as jamais regretté ce jour où il s'est déclenché. la brume noire elle te fascine et elle t'effraie, il y a cette part de toi qui aimerait s'en approcher, la toucher du doigt, cette partie de toi qui se sent suffisamment puissante pour y résister, pour ne puiser en elle que le meilleur sans se laisser emprisonner. Mais tu es lucide, ou du moins tu essaies, tu te connais, un peu mieux depuis quelques années, tu sais que si elle t'approche tu vas sombrer, avant d'avoir compris ce qu'il t'arrivait. On entend beaucoup de choses à son sujet, tu ne sais pas que croire, tu aimerais pouvoir te faire ta propre idée, mais tant que ta raison l'emporte tu feras tout pour t'en tenir éloignée. relations superficielles, c'est peut-être le terme qui convient le mieux, tu ne t'attaches guère et s'il n'est pas difficile de te côtoyer à petite dose rare sont ceux qui peuvent se vanter de te connaître - la lame viciée, c'est un surnom que l'on prononce rarement en ta présence, pas qu'il te gêne en vérité, peut-être même qu'une part de toi l'aime assez, mais tu es crains, tout autant que respectée, et tu trouves dans cette dualité un plaisir sans doute un peu sadique et malsain - tu es adepte des aventures sans lendemain, de la facilité, qu'elle porte robe de soirée ou armure ensanglantée, tu sais te mouvoir dans toute sorte de milieux même si les mondanités te donnent rapidement envie de filer.
POUVOIRS | CAPACITÉS | ARMES Omnivampirisme : Lorsque son sang entre en contact avec celui d'un autre, Kaelinn aspire l'énergie de son vis-à-vis, le blessant et regagnant des forces en même temps. Pratiquement, elle combat bien sûr avec la longue épée des lames rouges Xamari mais aussi avec des dagues ou lames plus courtes, dans tous les cas elle n'hésite pas à se blesser volontairement au début d'un combat afin d'enduire les lames de son sang. Ainsi, à chaque coup porté à un adversaire elle absorbe une partie de son énergie, régénérant la sienne. Au cours de ses années d'entraînement elle a également développée une technique ultime lui permettant d'envoyer une multitudes de petites lames acérées, de la taille d'un doigt environ, dans la direction dans laquelle elle tend son bras. Ses manchons cachent à cet effet ce stock de lames et un mécanisme permettant de les propulser, le tout étant fait de manière à ce que chaque lame lui entaille l'avant-bras lorsque le mécanisme est déclenché. ET TOI INVOCATEUR ? AvA, Kælinn, Ziggs... |