| | SIVIR surnom: Lorsqu'on mentionne la vierge martiale, tout le monde sait qu'on parle d'une seule et même femme : Sivir. nation : Shurima métier : mercenaire, chasseuse de trésor (ou pilleuse de tombe, cela dépend des points de vue), elle possède sa propre troupe dont elle est désormais la capitaine. age : 31 ans allégeance : elle-même avant tout, comme tout bon mercenaire qui se respecte, elle ne croit qu'en elle-même. Depuis l’Ascension d'Azir toutefois, ses croyances ont été perturbées. Elle ne pense pas que l'Empire puisse renaître totalement de ses cendres, et de s'unir sous une seule et unique bannière. Elle veut encore moins penser au fait qu'elle est la descendante d'Azir, et peut-être, son héritière ? race : Humaine
déterminée - ambitieuse - avide de pouvoir, d'argent, mais pas de responsabilité - chanceuse - intelligente - calculatrice - méfiante - obstinée - rancunière - revancharde - achetable QUI ES TU ?
descriptions
Sivir contemple les autres d'un regard légèrement ennuyé du haut de son mètre soixante douze. Ses yeux bleu-verts sont perçants, et la première chose que l'on remarque chez elle. Ils sont presque de la même couleur que les émeraudes qui ornent le Chalicar ainsi que quelques pièces de son armure. Ses cheveux sont bruns et longs, sa peau hâlée par le soleil écrasant de Shurima. Son corps est ferme et musclé forgé par les entraînements quotidiens, couturé ça et là de quelques cicatrices discrètes. Ses mains sont caleuses à force de manier des armes durant des années durant.
Bien qu'elle ne cherche pas particulièrement à se faire remarquer, il dégage d'elle une aura qu'il est compliqué d'ignorer. Un mélange d'autorité, de dédain et de mystère qui reflète une partie de sa personnalité complexe.
Lorsqu'elle sourit, cela lui arrive, elle sourit uniquement avec sa bouche, jamais avec ses yeux, qui ont toujours cette même lueur observatrice.
naissance d'une légende
A Shurima, et plus particulièrement dans le désert où la vie est rude, seuls les plus forts survivent et les faibles meurent. C'est une leçon que Sivir apprit à ses dépends à un jeune âge, lorsque sa famille fut massacrée par les Kthaons, lors d'un raid duquel elle survécut. Pas par miracle, pas par chance, simplement par lâcheté. Leurs attaquants ne s'intéressaient pas aux enfants, simplement à ceux qui tentaient de se défendre. Les autres ? Le désert les auraient bientôt.
Ainsi commença pour Sivir la lutte pour sa survie. Sans parents, entourée uniquement d'autres orphelins. Lorsqu'elle repense à son passé, elle revoit ses parents, des silhouettes floues, perdues dans les méandres du temps, mais elle a l'intime conviction qu'elle tient de sa mère.
Elle trouva son salut dans un premier temps, avec sa bande d'orphelins, qui vivaient de vols et autres petits larcins. Là encore, il fallait être bon, bon pour ne pas se faire prendre, et bon pour se défendre de ses propres compagnons. La faim faisait faire des choses terribles. Mais Sivir avait encore à cette époque confiance en les autres. Ils étaient tous dans le même bâteau.
La fillette avait une particularité, elle ne volait pas seulement de la nourriture et quelques bourses par-ci par-là. Non. Ses pas l’amenèrent de nouveau dans le désert qui l'avait vu naître, vers des ruines dans lesquelles personne n'osait vraiment s'aventurer.
L'avantage d'être un enfant, c'est qu'elle pouvait passer partout, et à l'aide de simple corde, elle descendait dans des tombes, au péril de sa vie, et de celle des autres orphelins, assez fous ou désespérés pour l'y suivre parfois. Ainsi s'ouvrit pour Sivir, une nouvelle voie, dans laquelle elle se révéla assez douée, elle avait en effet, comme un don, celui de trouver des passages secrets, des trésors d'autant plus que toutes les tombes avaient déjà été fouillées auparavant.
De fil en aiguille, elle prit naturellement le rôle de chef de leur petite troupe sans que son autorité ou sa détermination ne soit jamais remise en question. Pour un temps du moins, car lors d'une descente dans une tombe inexplorée, Sivir et les autres orphelins, après des heures à errer et à tenter de trouver l'entrée, arrivèrent dans une pièce parfaitement vide. Mhyra, son amie, presque une sœur pour elle, exigea alors de Sivir qu'elle abandonne son rôle de chef, pour le prendre. Sivir refusa et les deux filles se battirent. Mhyra était plus grande et plus âgée qu'elle et vainquit Sivir en la faisant tomber du haut d'une corniche.
Les ténèbres l'engloutirent et Sivir se réveilla quelques heures plus tard, dans l'obscurité la plus totale. Elle mit des heures à retrouver son chemin jusqu'à la surface et lorsqu'elle rentra chez elle, elle découvrit que Mhyra avait volé tous ce qu'elle possédait. Elle ne possédait rien de vraiment important, mais pour Sivir, une orpheline, même un rien était tout. Elle en fut furieuse, dépitée, mais ne put s'en prendre qu'à elle-même. Elle avait été faible, physiquement, et avait accordé sa confiance à la mauvaise personne. Elle se jura dorénavant qu'elle n'accorderait plus sa confiance à personne, car personne ne la méritait.
Armée de sa seule détermination, Sivir rejoignit une groupe de mercenaire mené par Iha Ziharo. Cette dernière accepta la fille dans sa troupe, peut-être parce qu'elle remarqua son potentiel, mais certainement pas par pitié. Pendant des années, elle resta avec les mercenaires, passant par toutes les étapes, celle de larbin, porteuse d'armes, de guide. Elle apprit à dormir avec une dague sous sa couverture, ne faisant confiance à personne, surtout pas aux mercenaires qui n'avaient de loyauté envers personne, et qui étaient achetés avec de l'or uniquement.
Elle apprit auprès d'eux, leur mode de fonctionnement et de pensée qui devint bientôt le sien, au combat, elle s'entraînait tous les jours, consciente qu'il fallait qu'elle soit parmi les plus fortes pour se démarquer. Ses efforts payèrent puisqu'un jour, Iha la remarqua et décida de la prendre sous son aile. C'était un honneur véritable, car rares avaient été ceux qu'Iha avait formés.
Des années s'écoulèrent encore, et la jeune femme devint une redoutable guerrière. Elle gravit les échelons et devint un des sergents d'Iha. Sa vie était faite de combat contre des tribus, des seigneurs de guerres. Ce fut une période propice, mais les guerres prirent fins un jour et les mercenaires se jetèrent tels des chiens affamés sur le peu de contrats qui subsistaient.
Sivir retourna alors là où la chance lui avait toujours souri auparavant : les ruines. Avec l'accord d'Iha, et les mercenaires, elle mena des expéditions qui leur apportèrent à tous, or et renommée. Mais surtout à Iha qui s'appropriait ses découvertes, ses idées, et la plus grosse partie du butin.
Sivir commença à prendre ombrage de son mentor, pour cette raison, et aussi parce qu'elle refusait de travailler pour les seigneurs de guerre. Elle avait son propre code de l'honneur, et il l'empêcher de travailler pour eux, disait-elle quand on lui posait la question. Sivir elle, ne voyait pas le problème, de l'or, c'était de l'or, peu importait son origine tant qu'on en gagnait. La morale ? Sivir n'en a pas vraiment. Elle suit son propre code, gagner de l'or, peu importe le sang versé à cause de lui.
En secret, d'autres mercenaires firent part de leurs mécontentements quand à Iha. Les contrats des seigneurs de guerre rapportaient trop pour qu'on les ignore. Il fut décidé d'organiser un coup d'état, afin de remplacer à la tête de la troupe, Iha, par Sivir. Mais Iha eut vent de ce qui se tramait et décida d'attaquer la première. Pendant la nuit, et le sommeil de Sivir, elle n'hésita pas à sortir sa lame. Mais Sivir dormait toujours avec sa dague sous ses couvertures, et après une terrible lutte qui lui valu quelques cicatrices, Sivir, plus jeune, plus forte, réussit à vaincre son mentor. Ne dit-on pas après tout, que l'élève fini toujours par dépasser le maître ?
Cependant, la jeune femme ne put se résoudre à tuer Iha. Elle s'en voulu, pour cet élan de faiblesse ridicule. Mais elle ne parvint pas à exécuter la femme qui l'avait « recueillie ». Si Iha n'avait pas été là, Sivir serait demeurée une orpheline des rues, une voleuse. Désormais, elle était une guerrière.
Elle décida donc d'abandonner Iha au milieu du désert, avec une gourde d'eau et une pièce. Le désert prenait les faibles. Iha avait donc une chance de s'en sortir. Sivir partit sans se retourner.
A partir du moment où Sivir prit la tête de la troupe, la réputation de ses mercenaires commença à s'étendre. Leur force, leur intrépidité était admirée, ainsi que le fait que c'étaient de bons combattants, et des explorateurs aguerris, capable de mettre la main sur des reliques depuis longtemps disparues.
Tous s'arrachaient leurs services, les seigneurs de guerre, les barons du désert, des riches marchands, des collectionneurs. Elle menait leurs guerres, trouvaient leurs trésors. Et il la payait, cher. Très cher.
Sa vie allait prendre un nouveau tournant lorsqu'elle fut engagée par un noble de Nashramae afin qu'elle retrouve une lame en forme de croix. Un héritage perdu appartenant à sa famille disait-il. Le Chalicar. Pour cette mission, elle fut accompagné de ses propres gardes personnels. Elle chercha durant des mois entiers. Aucun trésor ne pouvait lui résister. Elle interrogea des gens, étudia les fragments d'anciennes cartes, d'anciens textes, les rares à avoir résisté au temps. Entra dans des tombeaux pour en ressortir les mains vides. Jusqu'au jour où elle le trouva.
Dans une tombe appartenant à un ancien héros, comme en témoignait les gravures, elle ôta les gravats qui recouvraient le sarcophage avec l'impression qu'elle était à sa place, que c'était non pas sa chasse au trésor, mais son destin qui l'avait menée là, ici. Elle découvrit l'arme, et fut fascinée par l'or et les émeraudes scintillantes. Elle qui reposait là depuis sûrement des milliers d'années, se tenait là, immaculée, et toujours aussi tranchante. Lorsqu'elle la prit dans sa main, l'arme s'y ajusta parfaitement. C'était comme l’extension de son bras. Comme si, cette lame était destinée à être sienne.
Elle sut qu'elle ne pourrait jamais s'en séparer, et lorsqu'il fut temps pour elle, de rentrer, elle décida de la garder, tuant chacun des hommes de Nashramae.
Ce fut ainsi que sa réputation s'étendit au delà des frontières de Shurima.
Un jour elle fut contactée par une noble noxienne, Cassiopeia Du Couteau, qui recherchait une relique. Elle n'eut aucun problème à engager Sivir qui ne demandait qu'une seule chose, de l'or. C'est ainsi que Sivir se retrouva à guider Cassiopeia dans les ruines de l'ancienne capitale de Shurima. Elles évitèrent les pièges mortels qui coutèrent la vie à nombre de ses mercenaires mais continuèrent à avancer. Cassiopeia la payait pour qu'elles continuent, peu importe le nombre d'hommes qui tombaient.
Sivir n'avait pas confiance en la noxienne. Sivir n'avait confiance en personne, mais encore moins en elle. Lorsqu'elles arrivèrent devant des bas reliefs antiques représentant des dieux transfigurés aux têtes d'animaux, Sivir se laissa distraire. C'était comme dans les contes qu'on racontaient aux enfants. On retrouvait les mêmes figures animales. Mais ce n'étaient que des légendes, cela faisait des milliers et des milliers d'années que l'ancien empire était mort. Son sang frémit tandis que son regard accrochait le bas-relief dans un état de conservation remarquable.
Elle sentit ensuite la morsure glaciale d'une lame qui s'enfonçait dans son dos, le sang chaud qui dégoulina, et le mouvement sec du poignard qu'on arrache de sa peau. Elle ne sentit pas tout de suite la douleur mais compris qu'elle allait mourir. Elle s'effondra sur les sables antiques, regardant Cassipeia lui enlever le Chalicar. Ses doigts ne purent le retenir, elle perdait ses forces à une vitesse ahurissante.
La mort se referma sur elle au moment où, lorsque Cassiopeia ouvrit la tombe, une serpent de pierre en jaillit pour la mordre. Des rugissements furieux furent les derniers sons qu'elle entendit avant de sombrer.
Mourir à cet instant-là, ce n'était pas son destin. La jeune femme se réveilla, enveloppée d'eau. Des eaux turquoises et apaisantes. Lorsqu'elle reprit conscience, elle comprit très vite qu'elle n'était pas seule. Quelqu'un se tenait avec elle, dans un... bassin ? Et elle se sentait parfaitement bien, toute la fatigue, toute la douleur que son corps avait enduré, n'étaient plus. Elle ne sentait plus dans son dos, la blessure mortelle.
Ce quelqu'un qui se tenait dans le bassin ressemblait étrangement à Azir, le dernier Empereur de Shurima, un empereur légendaire. Même les millénaires n'avaient pas réussi à effacer entièrement son histoire... et sa chute.
Sous ses yeux, le disque solaire renaquit, s'élevant lentement dans le ciel tandis que l'ancienne cité réapparaissait. Que le soleil inondait de nouveau la ville trop longtemps plongée dans les ténèbres.
Sivir profita de l'ascension d'Azir pour récupérer le Chalicar, et s'enfuir, perturbée jusqu'au plus profond de son être, déterminée à retourner à son ancienne vie.
Mais son ancienne vie semblait différente, maintenant qu'elle avait connaissance d'une vérité que peu de gens connaissaient. Son sang avait fait renaître Azir, parce qu'ils avaient le même. Parce qu'elle était sa descendante. La dernière de sa lignée. Une lignée qui avait bien failli s'éteindre à cause de Cassiopeia. Une lignée que Sivir ne voulait pas perpétuer. Elle avait refusé la main tendue d'Azir, préférant fuir. Fuir plutôt que de prendre une décision.
Elle croisa le chemin de Xerath à Vekaura. Une rencontre qui faillit lui être fatale tant ce dernier était déterminé à éliminer la lignée d'Azir. Elle ne fut sauvée que grâce à l'intervention de Nasus, et celle de Taliyah.
Elle comprit dès lors qu'il lui faudrait rapidement faire un choix, et sans doute n'aurait-elle pas d'autre option que d'embrasser sa destinée.
la patrie est la où se trouve le coeur
Sivir se considère totalement comme étant une Shurimienne. Mais Shurima est divisée. Elle ne croit pas en la potentielle réunification de l'Empire alors même qu'elle a été au première loge lors du retour d'Azir. On pourrait même dire que c'est grâce à elle qu'il est revenu. Une Shurima unifiée, c'est un rêve auquel elle ne croit pas vraiment. D'un côté, cela voudrait dire des guerres, et pour la mercenaire en elle, ce serait bon pour les affaires, mais de l'autre, des Shurimiens appartenant à des factions différentes auraient à périr, et Shurima a déjà souffert. Sivir se contente d'ignorer pour l'instant ce qu'il se passe, attendant qu'elle n'ait plus le choix. Elle ne s'était jamais considérée comme étant lâche auparavant. Mais lorsqu'Azir lui a tendu la main, elle a préféré s'esquiver.
les pouvoirs
Sivir n'a aucun pouvoir. Elle considère que la magie est une arme, ceux qui sont nés avec doivent apprendre à la manier, tout comme elle a dû apprendre à manier les armes. L'utilisation de la magie dépend de son utilisateur, tout comme elle ses armes. Elle peut faire le bien, comme le mal. Chacun fait ses propres choix.
Elle ne craint pas la magie, ni les magiciens. Elle n'a pas peur d'en affronter si besoin. Toutefois, elle a vu la puissance de la magie et elle se sent minuscule à côté, presque impuissante. La magie lui a sauvé la vie, elle ne l'oubliera pas, mais a failli la tuer également.
la brume noire
Sivir n'a pas été encore été directement confrontée à la Brume Noire. Evidemment, elle en avait entendu parler, notamment dans les tavernes, parfois les récits des nuits de l'horreur de Bilgewater arrivaient sur le tapis. Elle a toujours trouvé cela potentiellement très dangereux. Comment tuer ceux qui sont déjà morts?
relations
Azir - Ancien Empereur de Shurima, et son ancêtre. Celui qui lui a sauvé la vie. Ses sentiments vis-à-vis de lui sont mitigés, à vrai dire et pour la première fois depuis très longtemps, Sivir se sent perdue.
Cassiopeia - Comment oublier la Noxienne qui lui a planté un poignard dans le dos? Depuis cet incident, Sivir porte une rancune particulièrement tenace envers tous les Noxiens, même si elle ne refuserait pas leur argent.
Xerath Il a juré d'éliminer toutes les lignées d'Azir dont elle est la dernière descendante. Il a failli la tuer à Vekaura et depuis, continue de la chercher.
Nasus Ancien protecteur de Shurima, Sivir lui doit la vie face à sa rencontre avec Xerath. Il l'a soignée, et informée. Tout ce qu'elle sait de sa "lignée", sur son arme, c'est grâce à lui. Ce n'est pas pour rien qu'on l'appelle l'Erudit.
Taliyah Elle l'a sauvée également, avec Nasus. Ce n'est qu'une gamine. Mais elle est prometteuse.
POUVOIRS | CAPACITÉS | ARMES Sivir n'a aucun pouvoir particulier. Toutes ses capacités elle les doit à elle et à ses longues d'heures d'entraînement. C'est une combattante redoutable, capable de manier la dague comme l'épée. Toutefois elle est connue pour être la détentrice du Chalicar, une redoutable lame en croix qu'elle a appris à manier. Celle-ci fonctionne un peu à la manière d'un boomerang lorsque Sivir l'envoie, elle revient vers elle.
Le Chalicar est accroché sur son dos lorsqu'elle ne le porte pas.
Le Chalicar est une arme ayant été forgée au Mont Targon il y a des milliers d'années, avant même la naissance d'Azir. Elle fut portée par Setaka, une reine guerrière transfigurée pendant trois cent ans avant qu'elle ne meure. Elle ignore que dans l'arme est emprisonné un Darkin. ET TOI INVOCATEUR ? je cherchais un forum rpg sur league of legends puisque je suis à la fois une joueuse de lol et quelqu'un qui pratique le rpg. J'ai trouvé le forum tout à fait par hasard en tapant sur le moteur de recherche de forumactif et je suis vraiment heureuse d'en avoir trouvé un qui soit actif et agréable à regarder  |
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